Les protéines végétales : des bienfaits sur la santé et sur l’environnement !

Lorsque l’on vous dit “source de protéines”, vous répondez ? Une viande grillée très certainement, des sardines ou peut-être des œufs, incontournables avec leurs 13 g de protéines aux 100 g. Mais c’est sans compter sur le quinoa, les haricots, le tofu ou les amandes, qui constituent d’excellentes alternatives végétales et permettent d’ajouter de la diversité à l’alimentation.

Entre légumes, légumineuses, substituts de viande et compléments alimentaires, cap sur le bien-être sous le signe des protéines végétales !

Des protéines végétales pour prendre soin de sa santé

Les protéines sont un élément essentiel d’une alimentation saine. Elles jouent un rôle dans la plupart de nos fonctions corporelles, de la réparation cellulaire à la production d’hormones en passant par la construction musculaire. 

Et si l’essentiel est d’en consommer une quantité suffisante au quotidien, leur origine a son importance. Manger moins de produits d’origine animale et plus de protéines végétales serait ainsi associé à une longévité accrue et à différents bienfaits liés aux vitamines, minéraux et antioxydants présents dans les plantes. 

Aux sources directes que constituent les aliments, on peut ajouter des poudres ou protéines de soja texturées (comme celles proposées sur https://proteines-vegetales.fr par exemple), parfaites pour combler les besoins des sportifs ou pallier une éventuelle carence. 

Une aide à la perte de poids

Pour perdre du poids, on le sait bien, il faut impérativement consommer moins de calories que ce que l’on en dépense en une journée. C’est ce déficit qui permet l’élimination des kilos superflus.

Généralement moins caloriques que les protéines d’origine animale, les protéines végétales ont un impact modéré sur l’apport calorique global, pour vous permettre d’atteindre plus facilement vos objectifs. Notez aussi leur structure complexe, qui implique une décomposition plus lente et vous permet de vous sentir rassasié(e) plus longtemps. De quoi vous en tenir à des choix alimentaires sains, sans vous laisser guider par la faim !

Une meilleure diversité alimentaire

La consommation de protéines végétales est l’occasion de s’ouvrir à d’autres familles d’aliments pour plus de variété dans l’assiette et pour fournir en quantité suffisante les nutriments dont le corps a besoin. 

Certaines, telles que les pois chiches, le soja ou le quinoa sont même des protéines dites complètes, c’est-à-dire qu’elles renferment les 9 acides aminés essentiels. Une prouesse longtemps attribuée exclusivement aux produits d’origine animale !

Un booster d’immunité

La manière dont vous alimentez votre corps a un effet majeur sur votre système immunitaire et sur sa capacité à vous protéger et à combattre les infections. 

Les protéines végétales font justement un excellent travail pour renforcer l’immunité, notamment grâce aux fibres qui participent à créer un microbiome intestinal sain et à augmenter les défenses de l’organisme. 

Un bouclier contre le risque de maladies chroniques

Les protéines animales, en particulier les viandes rouges et transformées, sont associées à une inflammation chronique causée par les graisses saturées, et liée à de nombreuses affections graves.

À l’inverse, favoriser les protéines végétales diminuerait le risque de :

  • Cardiopathie.
  • Hypertension artérielle .
  • Taux de cholestérol élevé.
  • Cancers.
  • Obésité.
  • Accident vasculaire cérébral.
  • Diabète de type 2.

Des protéines végétales pour prendre soin de la planète 

Choisir des sources de protéines végétales plutôt qu’animales a aussi un effet positif sur l’environnement et le climat. On sait par exemple que la production d’un kilo de bœuf nécessite entre 14 et 16 kg de céréales ou de soja mais également un espace conséquent et une certaine quantité d’eau. Favoriser les produits issus des plantes pèse au contraire beaucoup moins sur les ressources et sur notre Terre.

Un facteur de réduction des émissions nocives

On estime que le passage d’un régime omnivore au véganisme réduirait les émissions personnelles de gaz à effet de serre de 50 %. Tandis que le passage à un régime alimentaire lacto-ovo-végétarien entraînerait une réduction de 35 %.

Une diminution de la consommation d’eau

Les viandes, qu’elles soient blanches ou rouges, nécessitent beaucoup plus d’eau que les protéines végétales comme les légumineuses, les noix et les céréales. Pour revenir à notre bœuf, la production d’un seul kilo requiert jusqu’à 15 litres d’eau. Soit une consommation 6 fois supérieure à celle des légumineuses par exemple.

Protéines végétales ou animales, l’essentiel sera de les choisir aussi saines que possible et d’en combiner différents types pour atteindre les apports quotidiens recommandés. Tout en gardant à l’esprit les bienfaits essentiels dont regorgent les plantes, et que les produits d’origine animale ont parfois du mal à nous apporter !