Saison après saison, viandes, poissons, fruits et légumes alignés sur les étals sont autant de promesses de petits plats sains et gourmands à réaliser en un tour de main pour régaler toute la famille.
Pour prendre soin de soi tout au long de l’année, pas de secret : on veut des produits de qualité et des cuissons saines indissociables d’un choix judicieux des ustensiles utilisés.
Votre alimentation sera guidée bien évidemment vers les produits que vous êtes à même de réaliser. Pour faire un jus de fruit maison, il vous faudra un extracteur de jus, pour faire un smoothie bowl il vous faudra un blender, et pour faire des snacks à base de fruits secs il vous faudra un déshydrateur.
En plus d’être plus économique assez rapidement, ces appareils vous permettent de profiter de produits sains sans aucun additifs. Vous consommez ce que vous cuisinez. Mieux encore, vous savez exactement ce que vous ingérez.
Afin de vous aider, nous avons réalisé différents guides d’achat pour vous permettre de comprendre quel équipement est réellement adapté à vos besoins.
Dans ce guide nous vous conseillerons plus généralement sur les bons ustensiles à choisir pour rendre votre cuisine plus saine. Cela passe notamment par le choix des matériaux mais également par les techniques de cuisson.
Inox, fonte, silicone, cuisson vapeur ou plats mijotés, quel impact sur ma santé ? Et surtout, comment choisir les bons ustensiles pour une alimentation saine ? Petit tour d’horizon.
Miser sur une cuisine saine, c’est à la fois équilibrer le nombre de calories ingérés quotidiennement mais aussi limiter au maximum les substances toxiques potentiellement présentes dans l’alimentation.
Dans certains cosmétiques, dans les aliments non bio ou les ustensiles de cuisine en plastique, les perturbateurs endocriniens peuvent revêtir de multiples formes et se cacher là où on les attend le moins. Ce qui ne change pas en revanche, c’est leur impact néfaste sur la santé et ce même à très faible dose dans l’organisme. On parle désormais de cancers, d’infertilité, d’obésité, de diabète de type 2 ou de maladies neurologiques au point que certains polluants ont été définitivement bannis des méthodes de production à l’image du bisphénol A (BPA) contenu autrefois dans les emballages alimentaires plastique ou les boîtes de conserve.
Mais au final, que faut-il précisément redouter ? Un petit récapitulatif s’impose :
Substances | Contenus dans |
Bisphénol A | Boîtages et fontaines à eau en plastique, cuits-vapeur en polycarbonate, boîtes de conserve, vaisselle jetable en polycarbonate. Interdit depuis 2015, attention toutefois aux chiffres 3,6 ou 7 inscrits dans les pictogrammes présents sur certains produits. |
Composés perfluorés | Emballages alimentaires cartonnés ou en papier (fast-foods), ustensiles à revêtement adhésif. |
Dioxines et PCB (polychlorobiphényls) | Laitages, viandes, poissons, fruits de mer. |
Pesticides | Fruits et légumes qui ne se pèlent pas mais aussi céréales, tous non issus de l’agriculture biologique. |
Phtalates | Boîtages en plastique souple, films étirables. |
Afin de préserver au maximum sa santé, il s’agira d’adopter quelques gestes simples qui deviendront des réflexes en un rien de temps !
Le meilleur moyen d’éviter au maximum les pesticides et de se passer de tous ces additifs superflus qui peuvent parfois grimper jusqu’à 400 types différents dans les produits classiques, contre une cinquantaine seulement avec les aliments bio.
À la fois au niveau des menus préparés que des sources d’approvisionnement, on préfèrera goûter un peu à tout plutôt que de se concentrer sur une poignée d’aliments uniques. Et côté viande ou poisson, bien entendu, on retire la peau avant de déguster !
Pour la conservation comme pour le réchauffage, finis les boîtages plastique et les films alimentaires, le verre étant une alternative neutre idéale. Dans les emballages traditionnels, le bisphénol A a quant à lui laissé la place aux bisphénol F ou S notamment. Les années à venir nous diront si l’évolution a été bénéfique.
Ah la cuisson… Une étape pas toujours maîtrisée mais qui participe à l’assimilation des aliments par l’organisme tout en décuplant des saveurs autrement inexistantes à l’état cru. On fond pour une grillade bien assaisonnée ou un poulet frit croustillant à l’extérieur et tendre à cœur ! Malheureusement, les températures élevées nécessaires à ces modes de cuisson peuvent favoriser la formation de composés toxiques tout en détruisant la majeure partie des nutriments.
La vitamine C commence ainsi à disparaître dès 60°C, les vitamines contenues dans les fruits et les légumes s’effacent à partir de 90°C tandis que la vitamine D, essentielle à la minéralisation des os, est détruite à partir de 110°C. Qui cherche à manger sainement évitera alors les cuissons trop chaudes et trop longues sachant en particulier qu’au-delà de 180°C, le beurre et la plupart des huiles se mettent à dégager des fumées cancérigènes. C’est ce que l’on désigne comme le « point de fumée ».
Mais alors, quel mode de cuisson choisir sans garder en permanence l’œil sur le baromètre ? On distinguera généralement :
Au four, au grill ou à la plancha. Des cuissons oscillantes entre 100 et 250°C et permettant la plupart du temps de conserver un maximum de goût et de minéraux. À ne réaliser qu’occasionnellement afin d’éviter les substances toxiques.
Que l’on réalise avec un peu d’eau forcément. Oscillant entre 100 et 120°C, ce sont les cuissons à privilégier dans la cadre d’une alimentation santé avec notamment :
Une méthode bien moins néfaste qu’il n’y paraît à condition d’opter pour un réchauffage à l’assiette et non pas dans un contenant plastique (facteur de nombreux problèmes de santé ). Le pyrex et la céramique sont ici recommandés : attention à la chaleur du plat à la sortie du four !
Pas de plaisir en cuisine sans les outils adaptés parfaits pour nous faire gagner du temps derrière les fourneaux. Dans le cadre d’une alimentation healthy, ce sont les carafes filtrantes, les robots de cuisine et autres blenders qui sont particulièrement appréciés de par leurs nombreuses fonctionnalités. On râpe, on hache, on émince et l’on prépare ainsi de délicieux veloutés ou smoothies vitaminés !
Mais avant de passer à des accessoires de ce type, on veillera à disposer déjà du strict nécessaire qui rendra possibles les envies saines et gourmandes du quotidien, quelles qu’elles soient.
Les indispensables :
Les pratiques :
Encore présent dans bon nombre de foyers, le Téflon et ses produits dérivés ne sont toutefois plus produits depuis 2015, après que l’Agence de Protection Environnementale des États-Unis (EPA) ait réclamé la limitation de la production d’acide perfluorooctanoïque (PFOA) majoritairement utilisé lors du processus de fabrication du Teflon.
Dans les faits, le PFOA se présente sous la forme d’une colle industrielle utilisée pour faire tenir le Téflon mais les études nous parlent de troubles du système immunitaire et digestif, de maladies congénitales et de substances cancérigènes, tout du moins pour les animaux et à haute température. Si le Téflon en lui-même n’est finalement pas néfaste pour la santé, sa composition a semé le doute et a permis le développement d’alternatives alliant performances et santé. Car oui, c’est possible !
Mais au final, qu’est-ce qu’on choisit ?
Probablement le métal que l’on croise le plus régulièrement en cuisine. On évitera toutefois de s’en servir pour les petits plats mijotés et l’on prendra bien soin de huiler les parois de notre contenant de manière régulière. C’est ce que l’on appelle le culottage et cela permet aux poêles notamment de ne pas accrocher. Composée de fer et de carbone, la montée en température extrêmement rapide de la tôle d’acier lui permet de griller et de saisir en quelques instants. Elle permet des cuissons avec très peu de matières grasses tout en rehaussant la saveur des aliments. Pas d’inquiétude si elle noircit avec le temps, il s’agit d’une simple patine. La poêle, elle, reste inusable !
Un alliage de fer et de carbone particulièrement lourd et résistant. Déclinée en poêles, en woks, en marmites ou en cocottes, la fonte séduit par son excellente conductibilité de la chaleur et son habilité à la conserver plus de 20 minutes après avoir éteint le feu. Particulièrement adaptée aux cuissons longues à feu doux, on la préfère sans aluminium alors attention aux étiquettes !
Un autre alliage à base de fer où l’on retrouve également du carbone et du chrome parmi de nombreux autres éléments. Extrêmement résistant, à peu près tous les ustensiles se déclinent aujourd’hui en version acier inoxydable alors plus d’excuse pour ne pas se procurer une batterie complète en fonction de son budget !
Idéal pour les cuissons prolongées, on privilégiera les récipients à fond épais et on utilisera la technique de la goutte d’eau pour s’assurer de leur bonne température.
Une simple goutte déposée à la surface d’une poêle réagira en effet différemment selon que la température sera :
Nouveau venu sur le marché des ustensiles de cuisine, l’aluinox associe deux inox différents et se veut 12 fois plus conducteur que l’inox classique grâce à la présence d’aluminium. Une petite révolution qui permet une maîtrise totale des cuissons les plus délicates et une montée en température extrêmement rapide. Compatible avec tous les feux à induction, l’aluinox ne nécessite aucun entretien particulier et convient parfaitement au nettoyage en lave-vaisselle.
S’il ne devait y en avoir qu’une, bon nombre de gourmets opteraient pour la céramique les yeux fermés. Le secret ? Un revêtement anti-adhérent incomparable composé de silice et d’eau !
Idéale pour les cuissons homogènes et à feu moyen, la céramique se retrouve désormais dans les casseroles, les poêles, les works et les faitouts de toutes tailles et de toutes formes. La plupart des plats en céramique sont recouvert d’une couche vitreuse destinée à les protéger des fortes variations de températures. C’est ce que l’on appelle l’émail. Le souci, c’est qu’il se détériore avec le temps et que de petits éclats peuvent à terme atterrir dans la nourriture cuite. Un point faible auquel les marques tentent aujourd’hui de répondre en garantissant un émail sans plomb ni cadmium (facteurs de cancer) ou bien en accord avec les limites fixées. Bien que réglementée, la teneur en plomb et en cadmium est en effet tolérée à faibles doses.
À noter qu’il existe aussi des céramiques et autres plats de terre cuite non émaillés. Agneau mijoté, flan aux œufs, s’ils permettent une cuisson très naturelle au four, attention : l’absence d’émail les rend plus fragiles et bien moins résistants aux différentes températures.
Un matériau encore assez coûteux mais extrêmement performant, à la fois anti-adhérent et plus résistant que la moyenne. Compatible avec tous les types de feux, elle offre une diffusion homogène de la chaleur mais peut en revanche contenir certaines molécules toxiques telles que le PFOA, déjà évoqué avec le Téflon. Une simple vérification de la mention « sans PFOA » permettra de lever les doutes.
Températures élevées, chocs divers, le verre, et le pyrex® tout particulièrement, se montre au quotidien extrêmement fonctionnel et durable tout en étant recyclable ! Par souci de santé, on privilégiera toutefois des modèles non peints. Et l’on évite les changements brusques de température en préchauffant systématiquement le four avant cuisson par exemple.
Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, le silicone laisse rarement indifférent ! S’il a connu une démocratisation fulgurante ces dernières années, aux rayons pâtisserie notamment, ce que l’on sait moins en revanche c’est qu’il en existe deux types différents.
Les silicones platinum, plus résistants et forcément plus chers, et les silicones peroxydés composés de carbone et d’oxygène, au sein desquels la présence éventuelle de bisphénol A fait encore débat.
Incassable, anti-adhérent et facile à nettoyer, reste que le silicone dispose de nombreux atouts. À choisir avec précaution donc pour profiter des avantages de la matière sans mettre en danger sa santé.
Côté pratique, on veillera à ne jamais faire cuire de moule à vide. En manque de pâte pour remplir les dernières alvéoles ? Une poignée de farine dans chacune d’elles et c’est réglé ! Et si possible, on veillera à placer nos moules sur une plaque de cuisson avant de procéder au remplissage afin de faciliter le passage au four.
Papier cuisson, papier sulfurisé ou encore siliconé, des appellations distinctes pour des produits distincts que l’on a généralement tendance à confondre.
Le papier cuisson : C’est un papier blanc et lisse, spécifiquement conçu pour résister aux températures du four et pour faciliter le démoulage des gâteaux après la cuisson.
Le papier sulfurisé : Un papier traité à l’acide sulfurique dans le but de le rendre parfaitement imperméable. On l’utilisera en pâtisserie bien sûr mais aussi pour réaliser des papillotes très saines de viande et de poisson. Très semblable au papier cuisson classique, il tend à disparaître progressivement.
Le papier siliconé : Un papier cuisson classique recouvert d’une couche de silicone pour faciliter encore le démoulage.
Tous présentent en tout cas l’avantage de proposer des cuissons sans ajout de matière grasse et des démoulages simplifiés. En cas d’urgence, si aucun papier cuisson ne se cache dans vos placards, un peu d’huile étalée dans un moule puis saupoudrée de farine devrait faire l’affaire.
Léger, accessible et très bon conducteur de chaleur, l’aluminium offrirait les meilleurs ustensiles de cuisine qui soient s’il ne libérait pas progressivement dans les aliments des substances encore controversées. À forte dose, certaines études ont ainsi révélé des troubles d’ordre neurologique et osseux. Si les quantités d’aluminium déversées dans le corps restent faibles, il faut savoir que ce ne sont pas moins de 20% de ces substances qui restent stockés dans l’organisme, et que celles-ci se montrent extrêmement résistantes.
Pour plus de sécurité, les articles de cuisine en aluminium se sont progressivement recouverts des différents revêtements qui ont déjà nettement fait leurs preuves.
Si on l’apprécie tout particulièrement pour réaliser de délicieuses confitures maison, le cuivre n’a malheureusement rien du choix idéal. Le temps et les aliments acides ou salés aidant, le matériau s’oxyde et une couche de vert-de-gris toxique fait progressivement son apparition.
Il faudra alors procéder régulièrement, environ une fois par an, à l’étamage qui consiste en une fine couche d’étain déposée délicatement sur les fonds des ustensiles, par électrolyse. Un processus tout de même contraignant qui a conduit au développement d’ustensiles de cuisson en cuivre mais à l’intérieur recouvert d’inox pour profiter des avantages du cuivre en toute tranquillité. Fini le récurage des bassines à confiture au vinaigre et au sel ! L’inox montre ici encore toute l’étendue de ses atouts.
Pratique, polyvalente, la poêle est une grande incontournable de nos cuisines qui permet une large variété de recettes avec juste un soupçon de matière grasse. Si elle permet une excellente préservation des saveurs et des vitamines de chaque aliment, attention à se limiter à des cuissons douces à moyennes sous peine de dire adieu à sa cuisine santé !
Idéal pour : Les viandes, les volailles.
Et ça se comprend ! Moderne, résistante, la poêle en inox a depuis longtemps démontré l’étendue de ses performances en termes de cuisson comme d’entretien. Au fil des rayons, dans les magasins, il n’est pas rare de croiser de l’acier inox 18/8 ou même 18/10. Mais de quoi s’agit-il exactement ?
Et bien il s’agit tout simplement de la proportion de chrome et de nickel respectivement intégrée à la composition de l’ustensile. Spécifiquement choisi pour sa très grande solidité, c’est le chrome qui est annoncé en premier et que l’on retrouve généralement à hauteur de 18% afin d’offrir force et résistance face à la corrosion.
Le nickel de l’autre côté, c’est l’atout souplesse qui permet d’offrir à l’acier une certaine malléabilité qui lui permettra d’être encore plus solide face aux chocs du quotidien. Et pour une proportion équilibrée, ce sont généralement 8 à 10% de nickel qui entrent dans la composition de l’alliage. L’acier inoxydable 18/10 étant forcément légèrement plus performant.
Avantages | Inconvénients |
Cuissons multiples possibles | Produits de qualité coûteux |
Aucun risque d’oxydation | Tendance à accrocher selon les aliments |
Permet de cuisiner sans matière grasse | – |
Entretien facile | – |
Pour faire le bon choix avec un ustensile de cuisine saine en inox, on misera sur un fond épais composé de 5 mm d’aluminium minimum qui permettra une meilleure diffusion de la chaleur. Et l’on évite de gaspiller de l’énergie en optant pour une poêle légèrement plus grande que sa plaque de cuisson !
Idéal pour : Les viandes, les légumes, les féculents, les œufs, les crêpes.
La poêle en fer, ou tôle d’acier, plébiscitée depuis des décennies par les grand-mères du monde entier. Si elle a su se faire une place durable chez les particuliers comme les professionnels, c’est qu’elle est capable de saisir et de frire les aliments comme aucune autre poêle ne peut le faire et qu’elle permet une diffusion de la chaleur puis un refroidissement excessivement rapide. Pour un confort de cuisson maximal, on utilisera la fameuse technique du culottage lors des premières utilisations.
Avantages | Inconvénients |
Excellente diffusion de la chaleur | Non adapté à toutes les cuissons |
Anti-adhérence naturelle | Sensible à l’oxydation |
Inusable | Ustensile plutôt lourd |
Prix abordable | – |
Côté entretien, ni détergent ni lave-vaisselle et l’on évitera absolument de faire tremper notre poêle pour éviter tout risque de rouille.
Idéale pour : Les plats en sauce, les volailles, les œufs, les légumes, les crêpes.
La fonte, c’est tout simplement du fer contenant une plus forte proportion de carbone ce qui rend les deux types de poêle plutôt similaires.
L’anti-adhérence s’effectue grâce à la technique du culottage et la patine progressive permet à la poêle de se bonifier avec le temps, incroyable ! Au-delà de sa très grande robustesse, la fonte se distingue par une diffusion de la chaleur plus lente et sa capacité à la conserver longtemps même une fois le feu éteint. C’est pour cela que l’on privilégiera les cuissons à feu moyen maximum, plus économiques et mieux adaptées à la préservation des vitamines essentielles à une cuisine saine.
Très malléable malgré un poids supérieur à la moyenne, la poêle en fonte, et en particulier les non-émaillées, aura malheureusement tendance à accrocher à feu vif. Un grill sera alors indispensable pour saisir les aliments à des températures très élevées.
Avantages | Inconvénients |
Excellente conservation de la chaleur | Non adaptée à toutes les cuissons |
Anti-adhérence après culottage | Produit généralement coûteux |
Inusable | – |
Répartition uniforme de la chaleur | – |
Idéale pour : Les viandes, les sauces, les légumes.
À la fois anti-adhérente et bonne pour la planète, la poêle en céramique est aujourd’hui la seule alternative garantie sans PFOA ce qui n’est pas rien ! On la choisira pour préparer de petits plats mijotés et réchauffer des aliments sans dépasser les cuissons à feu moyen, la céramique conservant parfaitement la chaleur. À utiliser avec précaution pour limiter la dégradation de son émail.
Avantages | Inconvénients |
Revêtement extra-dur | Brûle vite |
Ne contient aucun agent toxique | Émail facilement dégradable |
Anti-adhérence | Coûteuse si l’on opte pour de la qualité |
Excellente durée de vie | – |
Différentes mais complémentaires, les poêles se choisissent finalement en fonction de l’utilisation que l’on se destine à en faire.
L’inox convient particulièrement à une cuisine santé mais nécessite bien souvent quelques connaissances afin d’en maîtriser pleinement les cuissons et ainsi éviter que les aliments n’accrochent. Inadaptée aux poissons, aux œufs ou aux féculents à moins d’utiliser une bonne dose de matière grasse, on n’oubliera pas d’y utiliser la technique de la goutte d’eau que vous maîtrisez désormais parfaitement ! On l’apprécie tout particulièrement pour son excellente résistance au lave-vaisselle à l’inverse de ses concurrents. Il est même possible de laisser tremper sa poêle en inox toute la nuit.
La poêle en fer prend le relais là où l’inox montre des signes de faiblesse en permettant de cuisiner sereinement les aliments qui ont tendance à y accrocher telles que les crêpes ou les œufs. Un choix à privilégier pour les amateurs de viandes grillées et de légumes sautés bien croquants.
La poêle en fonte conviendra davantage aux cuissons douces et prolongées des légumes notamment. L’ustensile de cuisine idéal pour les préparations mijotées.
La céramique pourra venir compléter la gamme pour cuisiner les aliments les plus fragiles. Un confort non négligeable pour les amateurs de poisson et d’œufs notamment.
Pour une cuisine parfaitement saine, on tentera si possible de changer de poêles environ une fois par an et d’éviter les marques discount, à défaut de privilégier les marques reconnues.
Impossible de repenser son matériel de cuisine saine sans s’équiper de quelques bonnes casseroles pour réchauffer des préparations ou réaliser les cuissons que n’autorise pas la poêle telles que le bain-marie ou la cuisson vapeur par exemple. Si la fonte se fait ici de plus en plus rare, plusieurs autres matériaux sont disponibles et deux questions s’imposent fondamentalement :
Avec ou sans revêtement anti-adhérent ? La question a son importance car si les casseroles avec revêtement permettent un grand confort d’utilisation en limitant l’accrochage des aliments, les ustensiles sans revêtement offrent une qualité de cuisson supérieure et une durée de vie incomparable. Si vos casseroles se destinent majoritairement à du réchauffage ou à la réalisation de préparations liquides, il pourra être intéressant de se diriger vers des casseroles sans revêtement.
Avec ou sans manche amovible ? Tout dépendra de l’espace de stockage disponible dans la cuisine. Éléments souvent fragiles, les manches s’accompagnent généralement de garantie sur plus de 20 ans, pour une parfaite tranquillité.
Idéal pour : Les viandes, les légumes.
Le matériau le plus répandu pour les casseroles, en dépit d’une conductibilité limitée de la chaleur. Idéale pour les cuissons du quotidien, de la préparation des sauces à la réalisation d’un bon caramel healthy à l’huile de coco, la casserole en inox se choisit de préférence avec un fond épais intégré pour une meilleure diffusion des températures. À la différence d’un fond rapporté, obtenu par l’association de plusieurs éléments, un fond intégré ou multicouches implique que l’ustensile a été conçu à partir d’une seule pièce, ce qui le rend bien plus performant. Le corps, ou jupe, de la casserole en inox devra également être suffisamment important et l’on optera enfin pour un couvercle bien lourd, qui permettra une fermeture hermétique.
Avantages | Inconvénients |
Grande robustesse | Présence de nickel dans la composition |
Excellente maîtrise des cuissons | Matière grasse nécessaire selon les recettes |
Produit sain et naturel | – |
Bonne résistance à la chaleur | – |
Idéal pour : Les viandes, les légumes, les sauces, les confitures.
Largement plébiscité par les professionnels, le cuivre permet la meilleure conductibilité qui soit. Pour une cuisine plus saine, la couche d’étain recouvrant le fond des casseroles en cuivre est progressivement remplacée par de l’inox rendant les deux ustensiles plutôt similaires. Une bonne casserole aura une épaisseur de 1,5 à 2 mm minimum.
Avantages | Inconvénients |
Excellente conductivité | Cuivre brut toxique |
Anti-adhérence | Prix parfois élevé |
Préservation des qualités des aliments | – |
Aspect esthétique | – |
Idéal pour : Les viandes, les sauces.
Encore présent dans de nombreuses cuisines malgré une mauvaise presse persistante, l’aluminium se révèle efficace dans la préparation de plats sautés ou mijotés à plus faible température ainsi que dans la réalisation de toutes sortes de sauces. S’il séduit par son excellente conductibilité de la chaleur, on veillera à choisir une casserole dotée d’un revêtement anti-adhésif pour éviter tout contact alimentaire avec certaines molécules toxiques.
Avantages | Inconvénients |
Léger | Effets nocifs possibles de l’aluminium brut |
Montée en température rapide | Longévité limitée par l’anti-adhérent |
Distribution homogène de la chaleur | – |
Prix accessible | – |
Il s’agirait plutôt de parler de tailles au pluriel car 3 variantes minimum seront nécessaires pour vous permettre de cuisiner confortablement. Bon nombre de marques ont d’ailleurs anticipé cette nécessité et proposent aujourd’hui des lots de 3 pièces, de 16, 18 et 20 cm. Comptez environ 80€ pour une série de ce type de qualité suffisante.
Pour faire découvrir vos préparations saines à toute la famille ou réchauffer une petite quantité de lait à l’heure du petit déjeuner, il pourra être intéressant de compléter son équipement d’une pièce plus grande de type marmite de 24 ou 28 cm environ, ou d’une toute petite casserole de 14 cm.
Loin d’être reléguée aux simples cuisines de nos grand-mères, la cocotte a fait son grand retour ces dernières années sous le nom d’autocuiseur permettant ainsi de renouer avec les recettes traditionnelles tout en s’essayant à de nouvelles créations gourmandes.
Pas facile toutefois de s’y retrouver entre les nombreux modèles proposés. Pour commencer à y voir un peu plus clair, il s’agira de définir le type de plats qui y seront majoritairement cuisinés. Plutôt cuissons mijotées, rôties ou même vapeur ? Plutôt grosses pièces de viande ou portions détaillées en petits morceaux ? Les réponses détermineront à la fois le matériau à envisager mais aussi les dimensions de notre future cocotte. Polyvalente et très répandue, la cocotte ronde saura s’adapter à la plupart des préparations mais il se peut que certaines recettes occasionnelles nécessitent une cocotte de forme ovale afin de pouvoir y placer tranquillement tous les ingrédients. Quant à la taille, une cocotte de 2 litres conviendra généralement pour 1 à 2 personnes tandis que les familles nombreuses devront idéalement opter pour une contenance de 6 litres minimum.
Idéale pour : Les cuissons mijotées, rôties, braisées.
On fait ici le pari du rustique avec une cocotte traditionnelle, parfaitement adaptée aux petits plats en sauce du quotidien. Bonjour sautés de porc aux épices, tajines de poulet au citron confit ou encore lapins à la moutarde pour régaler toute la famille autour de la table du dimanche. La cocotte en fonte garantit une montée rapide et progressive de la chaleur, alternant dans le même temps cuissons saisies et mijotées pour une multitude de plats riches en saveurs.
Les amateurs de naturel pourront opter pour une cocotte en fonte brute, non émaillée, pratiquement inusable et anti-adhérente grâce au principe du culottage. Face à l’oxydation possible toutefois, la cocotte en fonte émaillée présente bien des avantages à savoir :
Avantages | Inconvénients |
Excellente répartition de la chaleur | Détérioration possible avec le temps |
Inoxydable | Présence possible de plomb |
Émail à la fois neutre et hygiénique | Nécessité d’utiliser parfois une certaine quantité de matière grasse |
Facilité d’entretien | – |
Les deux cocottes conviennent dans tous les cas à la cuisson au four et sur tous types de feux à induction.
Idéal pour : Les cuissons rôties.
Inoxydables et incassables, les cocottes en inox permettent une diffusion rapide et optimale de la chaleur. Particulièrement performantes pour les cuissons rôties, elles laissent les aliments croustillants et tendre à souhait ! Un ustensile de cuisine encore peu connu par chez nous mais qui rencontre un succès croissant et que l’on utilisera dans le four uniquement.
Avantages | Inconvénients |
Léger et pratique | Adapté à un nombre restreint de cuissons |
Cuissons saines | Revêtement anti-adhérent pouvant nécessiter un soin particulier |
Revêtement anti-adhérent sans polytétrafluoroéthylène (PTFE) | – |
Entretien facile | – |
Idéale pour : Les cuissons à l’étouffée, mijotées, rôties.
À l’image de tous les ustensiles de cuisine en terre cuite, la céramique permet des cuissons douces et naturelles, idéales dans le cadre d’une alimentation saine et variée. Le principe ? La matière poreuse dont elle se compose va absorber de l’eau pour la redistribuer uniformément au cours de la cuisson qui devra impérativement commencer à froid dans le four afin d’éviter tout choc thermique. Résultat, les aliments sont tendres et juteux sans le moindre ajout de matière grasse et il est impossible de faire brûler ses plats.
La plupart des cocottes en céramique sont aujourd’hui émaillées afin de faciliter leur nettoyage et pour éviter que de petits éclats indésirables viennent à terme se mêler à la nourriture.
Avantages | Inconvénients |
Cuissons saines et uniformes | Non adaptée aux cuissons saisies |
Préservations des qualités nutritives des aliments | Entretien délicat |
Pas d’ajout de matière grasse du fait de la porosité de la matière | Produit relativement fragile |
Bonne résistance à la chaleur | – |
Idéale pour : Les cuissons mijotées, rôties, à l’étouffée.
Et bien non, les ustensiles de cuisine en pierre ne sont pas réellement faits de pierre mais de fonte d’aluminium dans laquelle ont été incrustées de fines particules de pierre avant d’être recouverte d’un revêtement en céramique le plus souvent. Le mythe s’effondre ? Pas tout à fait car restent encore les nombreux avantages de ce type de matériau ! On l’aime pour son excellente conductibilité de la chaleur et sa très grande résistance aux rayures. À l’inverse de plusieurs de ses concurrentes, la cocotte en pierre convient à tous les types de feu tandis que son revêtement empêche tout accrochage des aliments, même en cas d’utilisation d’huile à la cuisson. De quoi se laisser tenter tout de même !
Avantages | Inconvénients |
Revêtement anti-adhésif | Non adaptée aux très fortes températures |
Répartition homogène de la chaleur | Prix parfois élevé |
Durée de vie longue | – |
Compatible avec tous les types de feu | – |
Idéal pour : Les cuissons à l’étouffée, mijotées.
Opter pour une cocotte en verre, c’est faire le choix de la qualité et de la santé. On l’aime pour ses cuissons homogènes et son excellente résistance aux chocs thermiques qui lui permettent d’être posée directement sur la table après le passage au four. Et le petit plus, c’est que le verre ne contient aucun élément chimique. Il ne se dilate pas, ne conserve ni les traces ni les odeurs et garantit une cuisson parfaitement optimisée sans aucun effet nocif sur l’organisme. Spécifiquement adapté à la cuisine à basse température, les aliments ont ici l’occasion de libérer toutes leurs saveurs sans rien perdre de leurs vitamines.
On distinguera la cocotte en verre Pyrex, généralement du borosilicate très résistant, de la cocotte en vitrocéramique située entre le verre et la céramique, elle aussi capable de supporter des températures très élevées.
Avantages | Inconvénients |
Cocotte hygiénique et facile d’entretien | Non adaptée à la saisie des aliments |
Cuissons saines | Ne peut s’utiliser sur une source de chaleur |
Excellente résistance aux chocs thermiques | – |
Prix abordable | – |
Idéal pour : Les cuissons à l’étouffée, au micro-ondes.
Et si on osait la cuisine moderne avec une cocotte en silicone ? Celles-ci ont envahi les rayons grâce à leur simplicité d’utilisation et leur parfaite résistance à la chaleur. Fabriquée à partir de silicone pur retravaillé pour convenir à l’utilisation alimentaire, la cocotte en silicone peut ainsi subir de gros écarts de température tout en restant parfaitement anti-adhérente. Passez du four à la table ou au congélateur en toute sérénité !
Avantages | Inconvénients |
Aucun accrochage des aliments | Utilisable uniquement au four ou au micro-ondes |
Cuissons saines | Ne permet pas un grand nombre de cuissons |
Excellente répartition de la chaleur | |
Facilité d’entretien |
À l’heure où la cuisine asiatique a largement gagné en popularité en France, les woks sont devenus des articles de cuisine incontournables en particulier dans les foyers où l’alimentation saine est le maître-mot ! Pas besoin de matière grasse ni d’un excédent de sel ici. Des aliments soigneusement coupés, un wok bien chaud, quelques épices, un trait de lait de coco ou de sauce teriyaki et il est déjà temps de passer à table.
Si sa forme arrondie permet une diffusion rapide et homogène de la chaleur, son mode de cuisson bref à très haute température laisse les légumes croquants et pleins de saveurs. Pratique et polyvalent, le wok se choisira en tenant principalement compte de :
Sa capacité : Un couple n’aura pas forcément les mêmes besoins qu’une famille nombreuse. 24 cm de diamètre devraient suffire pour 2 personnes seulement tandis qu’on préfèrera un wok de 36 cm de diamètre pour 8 à 10 personnes.
Sa compatibilité : Attention, tous les woks ne conviennent pas à tous les feux ! Électrique, gaz, induction, les compatibilités sont généralement indiquées à l’aide de pictogrammes.
Son prix : Ceux-ci peuvent varier considérablement d’un modèle à l’autre, les woks en inox étant généralement les plus chers de tous.
À compléter éventuellement de couvercles adaptés pour de savoureuses cuissons mijotées ou à l’étouffée ainsi que de baguettes chinoises, très pratiques pour remuer les ingrédients.
Idéale pour : Les cuissons mijotées.
Un wok inusable lorsque non émaillé, quasiment identique à une poêle composée du même matériau. La montée en température, bien que lente, s’y fait de manière homogène et les plats restent bien au chaud longtemps. Particulièrement adapté aux plaques à induction, on pourra opter pour une version émaillée pour plus de confort d’utilisation. La durée de vie n’est cependant pas du tout la même.
Avantages | Inconvénients |
Cuissons rapides et homogènes | Plutôt lourd en dépit de ses poignées latérales |
Compatible avec toutes les surfaces de cuisson | Entretien régulier obligatoire |
Durable dans le temps | Non adapté au lave-vaisselle |
Prix abordable | – |
Idéal pour : Les cuissons sautées.
Le wok le plus typique qui soit, particulièrement adapté aux cuissons rapides réalisées à haute température. Très réactif à la chaleur, l’acier ne s’use pas mais nécessite lui aussi certaines précautions à commencer par le désormais traditionnel procédé du culottage.
Avantages | Inconvénients |
Excellent rapport qualité/prix | Non compatible avec tous les feux à induction |
Léger | L’acier chauffe moins vite que la fonte |
Anti-adhérent | Non compatible avec le lave-vaisselle |
Facile d’entretien | – |
Idéal pour : Les cuissons vapeur, mijotées, frites.
Un wok très recherché en dépit d’une répartition souvent inégale de la chaleur et d’une tendance des aliments à accrocher. L’inox séduit tout de même par son extrême facilité d’entretien et sa robustesse. Et puis il s’agit d’un matériau plutôt vert avec un très faible impact écologique et forcément, on apprécie !
Avantages | Inconvénients |
Cuissons saines | Nécessite parfois un peu de matière grasse |
Durée de vie longue | Traces de nickel possibles |
Très résistant aux températures élevées | – |
Écologique | – |
Une alimentation saine bien sûr, mais pas question de se passer de la petite note sucrée !
D’autant que depuis quelques années, la pâtisserie sort le grand jeu pour attirer de nouveaux adeptes. Désormais on lisse, on émulsionne et on abricote jusqu’à la maison, l’occasion de voir naître de bien gourmandes vocations ! Mais qui dit pâtisserie dit forcément ustensiles adaptés et c’est ici que les choses se compliquent tant l’offre est vaste.
Pâtissier occasionnel ou grand chef de demain, au final, comment est-ce qu’on s’y retrouve ?
Idéal pour : Les muffins, les cakes, les madeleines.
Souples et déclinables en une multitude de formes, les moules en silicone ont séduit bon nombre de professionnels et encore plus de pâtissiers amateurs ! Placez-les au four, au four à micro-ondes, au congélateur avec la même simplicité, le silicone pouvant supporter de très larges écarts de température oscillant de -60 à 240°C. On les apprécie tout particulièrement pour leur durée de vie longue et leur simplicité d’utilisation. Les gâteaux n’accrochent pas et se démoulent sans effort… à condition toutefois que la cuisson se soit faite de façon homogène, ce qui n’est pas toujours le cas.
Avantages | Inconvénients |
Souple | Cuissons parfois inégales |
Anti-adhérent | Impossibilité de découper directement dans le moule |
Démoulage facile | – |
Cuissons sans matière grasse | – |
Idéal pour : Les gâteaux, les cakes, les tartes, les madeleines, les cheesecakes
Des moules indémodables qui ont fait le succès des gâteaux d’autrefois et qui ont encore de beaux jours devant eux !
On les préfèrera pourquoi pas en fer blanc ou en tôle d’acier pour ralentir le processus de cuisson et le brunissement des pâtisseries. Et pour un démoulage légèrement plus facile, on optera pour un moule avec revêtement anti-adhérent, tandis que le fer et la tôle d’acier brut présentent l’avantage de se bonifier avec le temps. Cruel dilemne ! Disponible en plusieurs formes enfin, on pourra également y cuire cheesecakes et flans savoureux, à condition si possible d’opter pour un moule à charnières.
À noter que des moules en acier avec revêtement en céramique ou en silicone ont également fait leur apparition.
Avantages | Inconvénients |
Cuisson optimale | Démoulage parfois délicat |
Excellente répartition de la chaleur | Nécessité d’ajouter un peu de matière grasse avec le matériau brut |
Durée de vie longue | Entretien obligatoire |
Résistance aux écarts de température | – |
Idéale pour : Les cakes, les crumbles, les tartes, les flans.
À chaque matériau sa spécialité et le moule à gâteaux en céramique se destine plutôt à des cuissons douces et homogènes à réaliser aussi bien au four qu’au micro-ondes et même au bain-marie pour les ramequins individuels !
Plutôt esthétique, on pourra le déposer directement sur la table comme plat de service et découper notre préparation directement dans le moule, sans craindre de l’abîmer. On le choisira si possible comme toujours avant un émaillage pour plus de sécurité.
Avantages | Inconvénients |
Anti-adhérence | Entretien du revêtement obligatoire |
Entretien facile | Formes classiques |
Cuissons homogènes | – |
Supporte facilement les écarts de température | – |
Idéal pour : Les cakes, les flans, les tartes.
Une matière saine et résistante qui promet des cuissons douces sans en garantir toutefois l’homogénéité. La technologie brevetée de type Pyrex assure une excellente résistance à la chaleur et aux chocs du quotidien. Compatible avec l’utilisation du lave-vaisselle, le moule à gâteaux en verre s’entretient facilement et permet une multitude de manipulations malgré un poids relativement lourd.
Avantages | Inconvénients |
Adapté aux températures élevées | Conductibilité de la chaleur moyenne |
Cuissons saines | Lourd |
Résistant aux rayures | Démoulage parfois délicat |
Compatible avec l’utilisation du lave-vaisselle | – |
Des ingrédients soigneusement choisis, une batterie de cuisine fraîchement remplacée… et malgré tout, le mauvais entretien de vos ustensiles de cuisine pourrait réduire à néant tant d’efforts.
Pour une alimentation saine, on adopte les bons gestes pendant et après usage ! La bonne nouvelle, c’est qu’un peu d’eau tiède savonneuse appliquée à l’éponge suffit à tout nettoyer. À noter que la technique s’applique également aux cuillères et spatules en bois si essentielles à nos préparations saines et respectueuses des instruments utilisés.
On prendra éventuellement le temps de les désinfecter dans un mélange d’eau et de vinaigre blanc, ou de nourrir le bois avec un peu d’huile d’olive.
Certains matériaux passeront directement au lave-vaisselle à l’image de l’inox, que l’on aura pris soin de faire tremper dès la fin de la cuisson pour éviter que les sucs n’accrochent, mais la plupart se laveront à la main. Et pour redonner un peu de brillance, on optera pour de la pierre d’argile très naturelle mais aussi du vinaigre blanc, du jus de citron, du bicarbonate de soude ou du savon de Marseille. Dans tous les cas, on évitera absolument l’eau de javel et autres détergents chlorés.
Après le nettoyage, on laissera enfin sécher le tout à l’air libre avant de le frotter légèrement dans un torchon propre puis de le ranger. Une manière d’éviter à la fois la rouille et les moisissures.
Manger sainement, une promesse que l’on se fait à soi-même chaque matin et qui n’est déjà plus d’actualité à l’heure du déjeuner.
Comment ne pas se lancer pourtant lorsque l’on en connaît les bienfaits et l’infinité de saveurs et que tant d’ustensiles sont à notre disposition pour nous aider à nous faire plaisir ! Plus question de manque de temps ou d’idées reçues, c’est décidé on se lance, on innove, et l’on prend soin de soi jour après jour. Et pour ne plus perdre de temps dans la cuisine, on s’entoure du matériel adapté à nos envies et à nos besoins.
Une casserole et un wok en inox pour l’aspect anti-adhérent et la polyvalence (réchauffage, ébullition, sauces, préparations rapides). Certaines études ont démontré que les patates douces, les carottes ou encore les épinards offrent davantage de nutriments une fois cuits alors à vous les poêlées savoureuses !
Une poêle en fer pour faire sauter viandes et patates avec une pointe d’assaisonnement. On optera pourquoi pas pour d’autres modèles en inox ou en céramique afin de compléter sa batterie.
Une cocotte en fonte pour régaler toute la famille de petits plats mijotés et pour s’offrir un ustensile de cuisine qui n’est pas prêt de nous faire faux bond.
Un plat en pyrex, intemporel et indispensable pour cuisiner gratins, rôtis et desserts de la manière la plus saine qui soit.
Et parce que l’alimentation crue n’a pas fini de montrer l’étendue de ses bienfaits, on mise enfin sur certains appareils indispensables. Rien de tel qu’un hachoir ou un coupe-légumes pour réaliser en un tour de main de belles salades colorées, ou encore un extracteur de jus, essentiel pour faire le plein de nutriment à toute heure de la journée ! Tous en cuisine !