Sommaire
Facteur physique ou chimique de l’environnement.
Nombre d’individus par unité de surface ou de volume.
Etage renfermant les peuplements de la pente abyssale à pente faible qui s’étend jusqu’à 6000-7000 m.
Molécule possédant une fonction acide carobylique et une fonction amine primaire. Les acides aminés sont l’élement de base de la structure des protéines dans lesquelles ils sont liés les uns aux autres par des liaisons amide (ou liaison peptidique).
Diminution du pH de l’eau de mer due à l’absorption de dioxyde de carbone anthropique.
Espèces se localisant sur des sols nettement acides à cause de leur sensibilité à la présence et à la concentration de calcium dans la solution du sol par rapport à la capacité totale d’échange.
Se dit d’une fleur dont les pièces florales sont symétriques par rapport à un axe.
Caractère anatomique, processus physiologique ou trait comportemental qui a évolué sous l’effet de la sélection naturelle parce qu’il améliorait la survie et le succès reproductif à long terme d’un organisme.
acronyme d’Acide DésoxyriboNucléique. La molécule d’ADN a la forme d’une double hélice et est composée de deux brins. Chaque brin est une chaîne d’éléments appelés nucléotides. Un nucléotide est composé de 3 molécules : un sucre, un phosphate et une base azotée. La liaison entre chaque brin s’effectue à partir des bases de l’ADN au nombre de 4, l’adénine (A), la cytosine(C), la guanine (G) et la thymine (T), aidée en cela par des particules d’hydrogène (liaison faible).
Racines supplémentaires qui naissent n’importe où sur la tige ou sur un rameau.
Ensemble de particules solides ou liquides en suspension dans l’air, dont la taille varie généralement de 0,01 à 10 µm (millionième de mètre) et qui séjournent dans l’atmosphère plusieurs heures au moins. Les aérosols peuvent être d’origine naturelle ou humaine (anthropique). Ils peuvent influer sur le climat de diverses façons : directement, par diffusion ou absorption du rayonnement, et indirectement, en agissant comme des noyaux de condensation pour la formation de nuages ou en modifiant les propriétés optiques et la durée de vie des nuages.
Programme d’actions destinées à traduire dans les faits les principes et visées du développement durable, défini à Rio (92) lors du 2ème sommet de la Terre organisé sous l’égide des Nations-Unies. Les villes et autres collectivités territoriales notamment sont invitées par ce moyen à s’approprier et à pratiquer des politiques qui tendent à satisfaire les besoins des générations actuelles sans hypothéquer, pour le moins, la capacité des générations futures à satisfaire les leurs.
Pointe piquante présente sur l’écorce de certaines tiges.
Aire dans laquelle se rencontrent les individus d’une espèce. La distrution géographique d’une espèce est déterminée par la gamme de conditions écologiques à laquelle elle est capable de faire face, une série de conditions regroupées sous le terme d’amplitude écologique. L’aire de distribution est principalement déterminée par la présence ou l’absence d’habitat favorable. On raccourcit souvent cette expression en « aire de distribution » ou « distribution géographique ».
fruit sec indéhiscent, l’unique graine n’est pas soudée à la paroi du fruit.
Fraction du rayonnement solaire réfléchi par une surface ou un objet, souvent exprimée en pourcentage. Les surfaces enneigées ont un albédo élevé, les sols de surface ont un albédo élevé à faible et les surfaces couvertes de végétation et les océans ont un albédo faible. L’albédo de la Terre varie principalement en fonction de la nébulosité, de l’enneigement, de l’englacement, de la surface foliaire et des variations du couvert terrestre.
Substance de réserve qui entoure l’embryon.
Type d’interaction où une espèce est limitée dans son développement sans que l’autre en soit affectée
Milieu dépourvu de dioxygène.
Ensemble des étamines.
Dont le pollen est transporté par le vent.
Plantes à ovules dont les graines sont enfermés dans un ovaire qui sera le futur fruit.
Condition dans laquelle un organisme devient presque totalement déshydraté et cesse presque toutes activités métaboliques.
Manquant d’oxygène
Partie fertile d’une étamine où se forme les grains de pollen.
Animaux qui visitent les fleurs.
Résultant de l’action de l’homme ou fait par lui.
Protéines synthétisées par les lymphocytes B et les plasmocytes capables de reconnaître un antigène donné et de s’y lier.
Masse de hautes pressions atmosphériques, tournant dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère Nord et dans le sens contraire des aiguilles d’une monte dans l’hémisphère Sud
Extrémité d’une tige ou d’une racine.
Absence d’ailes ou ailes atrophiées.
Plantes de substrats argileux, exigeant des ressources hydriques particulières.
Expansion tégumentaire de la graine dans la région du hile.
Enveloppe gazeuse de la Terre. L’atmosphère sèche est composée presque entièrement d’azote (rapport de mélange en volume de 78,1 %) et d’oxygène (rapport de mélange en volume de 20,9 %) ainsi que d’un certain nombre de gaz présents à l’état de trace, tels que l’argon (rapport de mélange en volume de 0,93 %), l’hélium et des gaz à effet de serre qui influent sur le rayonnement, notamment le dioxyde de carbone (rapport de mélange en volume de 0,035 %) et l’ozone. En outre, l’atmosphère contient de la vapeur d’eau en proportion très variable, mais généralement dans un rapport de mélange en volume d’environ 1 %. L’atmosphère contient également des nuages et des aérosols.
Ensemble récifal de haute mer, émergé à marée haute, sans roche volcanique affleurante, le plus souvent de forme annulaire avec un lagon central.
Originaire du système
Etude centrée sur les populations d’une seule espèce.
Qui s’apparie à lui même (individus qui portent à la fois les organes sexuels mâle et femelle).
Chromosome non sexuel.
Organisme capable de subvenir seul à ses besoins en puisant des minéraux dans le sol, en utilisant le dioxyde de carbone atmosphérique et le l’énergie solaire.
Fruit charnu contenant une ou plusieurs graines.
Dépôt de graines dans le sol
Régions proches de l’équateur, du sud du tropique du Cancer et du nord du tropique du Capricorne.
Surface d’alimentation d’un cours d’eau ou d’un lac.
Etage qui correspond aux peuplements qui occupent le talus continental.
Réfère au fond des lacs, étangs ou océans
Ensemble des organismes vivant dans les fonds marins à proximité du substrat.
Processus d’accumulation de substances chimiques naturelles ou polluantes du biotope par les organismes, provenant de diverses sources, atmosphère, eau ou aliments.
Tendance des organismes de fin de chaîne alimentaire à concentrer de grandes quantités de polluant ou de contaminant présent dans un biotope
Ensemble des peuplements occupants un même milieu.
La bioconcentration signifie l’accumulation par l’organisme aquatique de substances à une concentration supérieure à celle mesurée dans l’eau.
Diversité totale de tous les organismes et écosystèmes présents à diverses échelles spatiales (depuis les gènes jusqu’aux biomes entiers).
Dégradation du substrat des récifs coralliens par des organismes vivants.
Branche de la géographie physique et de l’écologie qui étudie la vie à la surface du globe par des analyses descriptives et explicatives de la répartition des êtres vivants, et plus particulièrement des communautés d’êtres vivants.
Masse totale des organismes vivants présents dans un périmètre ou un volume donné ; les végétaux morts depuis peu sont souvent inclus en tant que biomasse morte. La quantité de biomasse est exprimée en poids sec, en contenu énergétique (énergie) ou en teneur en carbone ou en azote.
Ensemble écologique présentant une grande uniformité sur une vaste surface et où dominent les mêmes conditions climatiques.
Ensemble des biocénoes existant sur le globe
Faune et flore
Ensemble des conditions physico-chimiques du milieu.
Remaniement de sédiments par les mouvements et les modes de nutrition de la faune qui y vit.
Forme embryonnaire des fleurs.
Petite feuille située à la base d’un pédoncule floral.
Tiges profondément modifiées à entre-noeuds extrêmement courts, recouverts de feuilles écailleuses ou de bases foliaires.
Bourgeons tubérisés apparaissant sur des axes végétatifs.
Espèces que l’on trouve sur un substrat calcaire en raison de l’existence de propriétés physiques favorables qui sont d’ordre hydrique ou thermique.
Espèces qui s’installent de préférence sur les terrains calcaires pour des raisons d’ordre chimique en relation avec l’ion calcium.
Plante qui n’aime pas les sols calcaires.
Ensemble des sépales d’une fleur.
Masse de glace en forme de dôme recouvrant une zone située en altitude, d’une superficie très inférieure à celle d’une nappe glaciaire.
Tissu méristématique à l’origine des tissus vasculaires secondaires.
Fruit sec qui libère les graines quand il s’ouvre.
Pigment contenu dans les végétaux, et formé par les invertébrés grâce à l’alimentation.
Element du pistil comportant trois parties : une cavité close, l’ovaire et le style qui se termine par un stigmate. Le carpelle se transforme en fruit après la fécondation.
Fruit sec similaire à à un akène. La graine est soudée au fruit.
Classement ordonné des chromosomes d’une cellule par paire et par taille.
Organisme vivant dans les cavernes.
Résulte de la soudure de la tête et du thorax chez les arthropodes.
Appendices sensoriels situés à l’extrémité de l’abdomen.
Gaz utilisé dans la fabrication industrielle des bombes aérosols, des isolants, des réfrigérants et dont la libération provoque la dissociation des molécules d’ozone de la haute atmosphère.
Quantité de chaleur absorbée ou dégagée par l’eau quand elle passe de l’état de glace à celui de liquide, ou de celui de liquide à celui de vapeur, ou bien encore de celui de glace à celui de vapeur
Désigne les espèces qui se nourrissent des cadavres ou de matières organique morte en générale. Terme regroupant aussi bien les nécrophage que les saprophage.
Tige creuse cylindrique.
Pigment de plantes vertes qui joue un rôle essentiel dans le processus de la photosynthèse.
Etude de la répartition géographique des espèces vivantes et de ses causes.
Pigments de couleur verte permettant la capture des photons, pour être utilité dans la photosynthèse.
Etage qui s’étend de la limite externe de la vie des phanérogames marines jusqu’à la profondeur extrême compatible avec le déveloeppement des algues les plus tolérantes au faible éclairement, c’est à dire les plus sciaphiles.
Subdivision d’un embranchement.
Se nourrit de graines sèches.
Etat final d’une succession écologique
Orifice commun aux voies urinaires, intestinales et génitales.
Evolution des caractéristiques de deux ou plusieurs espèces en réponse aux changements de l’une ou de l’autre.
Changements qui apparaissent chez deux espèces qui sont en interaction et qui évolue parallèlement. La coévolution est un changement évolutif d’un des traits d’une population survenant en réponse à une pression sélective d’une deuxième population..
Existence simultanée de deux espèces ou plus dans le même habitat
Attraction de molécules semblables entre elles.
Ensemble d’individus d’âges différents mais qui ont vécu un même évènement.
Tissu de soutien formé de cellules vivantes dont les parois sont cellulosiques.
Matériel résultant d’un transport sur une courte distance sous l’effet de la simple gravité ou du ruissellement. L’accumulation des colluvions forme un colluvium.
Interaction entre une espèce qui tire un bénéfice et une espèce hôte qui n’en tire ni avantage ni nuisance.
Ensemble de populations qui interagissent entre elles dans une région donnée.
Changement de régime pour favoriser les aliments de meilleure disponibilité ou abondance.
Ensemble des colloïdes électronégatifs d’un sol, en particulier argiles et composés humiques.
Feuille dont le limbe est composé de plusieurs folioles.
Rapport entre le nombre réel de liaisons trophiques qui existent entre les différentes espèces d’un réseau trophique et le nombre théorique maximum.
Pollinisation par les coléoptères
Elle se manifeste quand deux espèces forment une coopération non indispensable. Chacune peut vivre de façon isolée mais la coopération procure des avantages aux deux espèces.
Organisme vivant à partir des déchets des autres organismes.
Le terme « corail » a plusieurs significations, mais désigne habituellement l’ordre des Scléractinies, dont tous les membres possèdent des exosquelettes calcaires et qui se divisent en coraux qui construisent des récifs (hermatypiques) et en coraux qui n’en construisent pas ou en coraux d’eaux froides et en coraux d’eaux chaudes.
Animal carnivore qui se nourrit essentiellement de coraux
Ensemble des pétales d’une fleur.
Les corridors écologiques sont des axes de communication biologique, plus ou moins larges, continus ou non, empruntés par la faune et la flore, qui relient les réservoirs de biodiversité.
Inflorescence dont les fleurs arrivent toutes à la même hauteur et dont les pédoncules partent de niveaux différents.
Premières feuilles présentes sur l’embryon d’une graine.
Composante du système climatique constituée de la totalité de la neige, de la glace et du gélisol (y compris le pergélisol) au dessus et au dessous de la surface des terres émergées et des océans.
Aspect de l’apparence d’un organisme par lequel il évite la détection par les autres.
Inflorescence dont les pédoncules partent du même niveau mais dont les fleurs n’arrivent pas au même endroit.
Ensemble du matériel vivant entourant le noyau dans la cellule. Il renfetrme les organites de la cellule (mitochondries, lysosome,…).
Groupe d’être vivant constitué par l’ensemble des champignons et micro-organismes des sols ou des biotopes aquatiques qui décomposent et minéralisent les fragments et débris de végétaux.
Réduction de la valeur sélective de la descendance issue de croisement autogame consanguin par rapport à la valeur sélective de la descendance issue de croisement allogame. L’augmentation du taux de consaguinité provoque une augmentation de la dépression de consanguinité.
Changement de fréquence des gènes dû aux variations aléatoires de fécondité et de mortalité dans une population.
Neutralisation biochimique d’un composé toxique.
Catégorie d’être vivant qui se nourrissent de détritus d’origine végétale ou animale constituant la matière organique morte. Ceux-ci joue un rôle majeur dans le processus d’humification.
Fruit formé de deux akènes.
Arrêt de développement qui peut intervenir à tous les stades. Elle est généralement obligatoire, elle peut être facultative suivant les conditions environnementales.
Phase de relachement du coeur.
Algues unicellulaires qui vivent dans les milieux aquatiques d’eau douce ou d’eau salée. Elles sont dotées d’un exosquelette siliceux qui porte le nom de frustule.
Présence de deux formes d’individus au sein d’une population
1lgues unicellulaires caractérisées par une grande variété de formes. La plupart sont photosynthétiques, élaborant leurs nutriments en utilisant l’énergie lumineuse ( voir Photosynthèse) et constituent une source nutritive pour d’autres organismes.
Plante possédant des fleurs unisexuées mâles et femelles (sur des pieds différents).
Qui a deux jeux de chromosomes.
Organisation spatiale des individus dans une population
Organisation spatiale des organismes dans laquelle les individus se trouvent en groupes.
Distribution dans laquelle la position ou la valeur d’une observation est indépendante de la position ou de la valeur des autres observations.
Etendue géographique d’une population ou de toute autre entité écologique.
Distribution dans laquelle les individus maintiennent une distance minimale entre eux et leurs voisins.
Se dit d’une espèce active le jour.
Variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, des écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et des complexes écologiques dont ils font partie; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces, ainsi que celles des écosystèmes.
Espèces que l’on retrouve sur terrain dolomitique (avec magnésium et calcium) Leur présence serait due à un besoin d’un pH proche de la neutralité et à un besoin en magnésium.
Etat inactif généralement atteint en cas de conditions inhospitalières.
fruit charnu qui renferme un noyau.
État d’un milieu dulçaquicole caractérisé par un apport excessif d’éléments minéraux nutritifs dû à diverse causes de pollution qui provoquent une eutrophisation accéléré des eaux
Graines transportées par l’animal puis stockées. Une partie des graines va être oubliée par l’animal.
Lame mince qui recouvre certains organes.
Système naturel dans lequel plusieurs niveaux interagissent les uns avec les autres : la matière, l’énergie et les êtres vivants.
Unité spatiale définie par une biocénose et un biotope.
Ecosystème qui n’a pas été sensiblement modifié par l’homme.
Ecosystème qui a été modifié par l’action de l’homme mais qui conserve de nombreux éléments naturels.
Frontière entre deux communautés végétales où les processus d’échanges ou de compétitions entre formations voisines peuvent être observés (Clements, 1897).La communauté de l’écotone contient beaucoup d’organismes des deux communautés adjacentes et des organismes caractéristiques voire même exclusif de l’écotone. Les écotones sont des interfaces qui peuvent réduire ou arrêter les flux d’énergies, de matières mortes ou vivantes qui sont susceptibles de pénétrer dans l’unité voisine. L’écotone joue un rôle de filtre physique ou chimique.
Se dit d’une espèce vivante ayant acquis des caractéristiques génétiques particulières qui résultent d’une sélection naturelle dans un milieu donné.
Organisme vivant à l’extérieur de leur hôte.
On qualifie généralement les effets de bordures comme les changements physiques et biologiques des conditions d’un écosystème frontière ou d’écosystème adjacents. Les effets abiotiques sont principalement liés à l’évolution de variables physiques telles que les rayonnements, l’humidité, la température, la vitesse du vent ou les nutriments du sol. Les effets biotiques se réfèrent eux à des variables biologiques telles que la composition spécifique (faune et flore), la prédation, le parasitisme.
L’effet de bordure peut impacter l’écosystème sur une profondeur variable suivant les paramètres : de plusieurs dizaines de mètres concernant la modification de l’humidité du sol, à plusieurs kilomètres concernant des paramètres biologiques comme le recrutement.
Plusieurs paramètres sont susceptibles de renforcer la présence et l’ampleur de l’effet de bordure. C’est le cas notamment de la vitesse du vent, de la température ou encore de la présence d’espèces exotiques et envahissantes. L’effet de bordure est généralement considéré comme ayant un impact négatif sur l’écosystème, toutefois il n’est pas nécessaire préjudiciable pour toutes les espèces, en particulier lorsqu’il y a un faible contraste entre la structure des deux écosystèmes adjacents.
Les gaz à effet de serre absorbent efficacement le rayonnement infrarouge thermique émis par la surface de la Terre, par l’atmosphère elle-même en raison de la présence de ces gaz et par les nuages. Le rayonnement atmosphérique est émis dans toutes les directions, y compris vers la surface de la Terre. Par conséquent, les gaz à effet de serre retiennent la chaleur dans le système surface-troposphère : c’est ce qu’on appelle l’effet de serre. Dans la troposphère, le rayonnement infrarouge thermique est étroitement lié à la température de l’atmosphère à l’altitude à laquelle il est émis, cette température diminuant en général avec l’altitude. En fait, le rayonnement infrarouge émis vers l’espace provient d’une altitude où la température est en moyenne de ? 19 °C, en équilibre avec le rayonnement solaire net incident, alors que la surface de la Terre se maintient à une température beaucoup plus élevée, de + 14 °C en moyenne. Une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre accroît l’opacité de l’atmosphère au rayonnement infrarouge et entraîne donc un rayonnement effectif vers l’espace depuis une altitude plus élevée et à une température plus basse. Il en résulte un forçage radiatif qui entraîne un renforcement de l’effet de serre; c’est ce qu’on appelle l’effet de serre renforcé.
Processus de réchauffement de l’atmosphère dû àcertains gaz. Ces gaz à effet de serre absorbent et réémettent les rayonnements infrarouges à la surface de la Terre. »
El Niño, au sens original du terme, est un courant marin chaud qui se manifeste périodiquement le long de la côte de l’Équateur et du Pérou, perturbant la pêche locale. Il a depuis lors été associé à une vaste zone de réchauffement située dans la partie tropicale de l’océan Pacifique, à l’est de la ligne de changement de jour. Cet événement océanique est lié à une fluctuation du régime de pression en surface dans les zones tropicales et subtropicales, dénommée oscillation australe. Le phénomène résultant de la combinaison de ces deux événements, qui se produit à des échelles de temps de 2 à 7 ans environ, est généralement connu sous le nom d’El Niño-oscillation australe (ENSO). Il est souvent mesuré par la différence de pression en surface entre Darwin et Tahiti et par les valeurs de la température de la mer en surface au centre et à l’est du Pacifique équatorial. Lors d’un épisode ENSO, les alizés dominants faiblissent, réduisant les remontées d’eau froide et modifiant les courants océaniques de telle sorte que la température de la mer en surface augmente, ce qui a pour effet d’affaiblir encore plus les alizés. Ce phénomène exerce une grande influence sur le vent, la température de la mer en surface et les précipitations dans la partie tropicale du Pacifique. Il a également des répercussions climatiques dans toute la région du Pacifique et dans d’autres régions du monde, par ses effets sur les téléconnexions mondiales. La phase froide du phénomène ENSO est appelée La Niña.
Aile antérieure rigide et inapte au vol, des coléoptères et des orthoptères.
Principale division des grands règnes de la classification.
Espèces qui ont une aire de répartition géographique limitée.
Organisme qui vit sous le substrat.
Diaspores ingérés par les animaux qui en assurent la dissémination à plus ou moins grandes distances.
Science qui étudie les insectes.
Inflorescence allongée supportant des fleurs dépourvues de pédoncules.
Animaux vivant à la surface d’un substrat.
Organisme qui vit au dessus du substrat.
inflorescence de certaines plantes comme le blé.
Organisme vivant dans l’interface eau / atmosphère.
Végétaux qui croissent sur les branches d’autres plantes et qui ne sont pas enracinés dans le sol.
Espèce qui vit sur le sable
Transport des graines à l’extérieur de l’animal (graines pourvues de dispositifs pour s’accrocher).
Ensemble des organismes possédant des caractéristiques communes et aptes à se reproduire entre eux.
Espèces caractéristiques exclusives d’une autre biocénose qui sont présentes soit en petit nombre et sporadiquement dans un biotope considéré, soit en état de vitalité réduit car développées en dehors de leur biotope normal.
Espèces dont la présence est aussi normale dans le biotope considéré que dans tout autre biotope.
Espèces préférentielles d’un biotope donné, qu’elles soient représentées en abondance ou en exemplaire isolé et qu’elles soient constantes ou sporadiques.
Une espèce, une sous-espèce ou un taxon inférieur présent en dehors de son aire de répartition naturelle (passée ou présente) et de dispersion potentielle (c’est-à-dire en dehors de l’aire de répartition occupée naturellement ou pouvant être occupée sans introduction directe ou indirecte ou intervention de l’homme); comprend les parties, gamètes ou propagules de ladite espèce pouvant survivre et ultérieurement se reproduire.
Une espèce exotique qui s’établit dans des écosystèmes ou habitats naturels ou semi-naturels, est un agent de changement et menace la diversité biologique indigène.
Une espèce, une sous-espèce ou un taxon inférieur, présent dans son aire de répartition naturelle (passée ou présente) ou de dispersion potentielle (c’est-à-dire dans l’aire de répartition occupée naturellement ou pouvant être occupée sans introduction directe ou indirecte ou intervention de l’homme.)
Espèces nécessitant de telles exigences en habitat particulier et étendu que leur conservation permettra la sauvegarde de beaucoup d’autres espèces rares et menacées.
Espèces qui assurent simultanément des fonctions similaires au sein d’un écosystème donné.
Eau côtière partiellement enfermée, souvent à l’embouchure d’un fleuve, qui reçoit de grandes quantités d’eau douce et connaît de fortes variations de salinités.
espace vertical du domaine benthique où les conditions écologiques sont sensiblement constante ou varient régulièrement entre les deux niveaux critiques marquant les limites de l’étage.
Organe mâle d’une fleur.
Espèce possédant une forte valence écologique, capable de peupler des milieux très variables (ex : eurytherme, euryhalin, euryhygrique).
Êtres vivants présentant un intervalle de tolérance élevée pour le degré de salinité des eaux.
Organisme aquatique possédant un grand intervalle de tolérance relatif à la concentration en oxygène dissous.
Êtres vivants présentant un intervalle de tolérance élevée aux variations de température
Espèce qui a une large distribution géographique.
Espèces nécessitant des sols riches en éléments nutritifs.
Enrichissement de l’eau en éléments nutritifs, notamment des composés de l’azote et/ou du phosphore, provoquant un développement accéléré des algues et des végétaux d’espèces supérieures qui entraîne une perturbation indésirable de l’équilibre des organismes présents dans l’eau et une dégradation de la qualité de l’eau en question
Membrane externe du grain de pollen.
Fusion de vésicules avec la membrane plasmique permettant la libération à l’extérieur de la cellule des substances contenues dans ces vésicules.
Peau rejetée par les arthropodes après chaque mue.
Facteur écologique qui par son absence ou sa quantité réduite au dessousn d’un minimum critique, ou lorsqu’il excède le niveau maximal tolérable, va exercer un rôle limitant sur l’espèce.
Déterminés par la présence à côté d’un organisme donné d’organismes de la même espèce ou d’espèces différentes qui exerce sur lui différents types d’interactions (prédation, parasitisme, compétition) et en subissent à leur tour l’influence.
Ensemble des espèces animales présentes dans un espace géographique ou un écosystème déterminé
Organe d’une plante assurant l’essentiel de l’assimilation chlorophylienne. Elles sont caractérisées par leur croissance limitée et comprennent typiquement trois parties
Feuille dépourvue de pétiole.
Pigment proche des ptérines. La riboflavine, jaune fluorescente, est présente dans de nombreux insectes et colore également les oeufs et tubes de Malpighi.
Ensemble des espèces végétales présentes dans un espace géographique ou un écosystème déterminé
Organisme vivant sur des fleurs
Mouvement d’énergie ou de matière vers ou hors d’un système.
Evènement naturel ou anthropogénique qui va isoler une population en deux ou plusieurs populations de
Organisme vivant au sommet des arbres.
Appendice des maxilles chez les insectes.
Unités à l’otigine des caractère héréditaire de chaque individu et support de la translmission de l’information génétique aux générateurs futures.
Ensemble des gènes d’un individu.
ensemble de l’information génétique d’un individu.
Subdivision de la famille dans la classification. Il comprend une ou plusieurs espèces.
Mouvement effectué par une plante soit vers le haut (tiges) soit vers le bas (racines).
Organe utilisé chez les reptiles et les oiseaux pour excréter le chlorure de sodium à forte concentration.
Pièces buccales chez les insectes.
Existence d’une population à taille réduite pendant un certain temps, qui peut résulter en une perte de variabilité génétique suite à la dérive génétique et à la consanguinité.
Différence de concentration d’une substance entre deux points ou de part et d’autre d’une frontière
Organe de reproduction et de dissémination des plantes à fleurs.
Espèce se nourrisant de graines.
Inflorescence formée de fleurs dont les pédoncules sont plus ou moins longs.
Ensemble d’espèces qui exploitent de façon comparable la même catégorie de ressources dans un écosystème et appartenant au même groupe taxonomique.
Ensemble des carpelles d’une même fleur.
Etage renfermant les peuplements des fosses et des ravins dépassant 6000 à 7000 m. Cet étage est caractérisé par un appauvrissement quantitatif et qualitatif du peuplement et par la présence de bactéries qui sont dites barophiles.
Plantes ayant besoin d’un milieu fortement salé pour lever la dormance de la graine ou pour empécher la dormance (ex : Suaeda maritima) ; ou de seul au moment de la croissance (Ex : Salicorne)
Se dit d’une cellule ou d’un organisme qui ne contient qu’un seul exemplaire de chaque type de chromosome.
Régions proches des pôles Nord du cercle arctique et Sud du pôle antarctique.
Espèce végétale nécessitant un fort ensoleillement pour se développer.
Plantes dont les bourgeons se situent au niveau du sol.
Désigne les animaux qui se nourrissent de végétaux et donc situé au second niveau dans les réseaux trophique de consommateurs
Organisme qui produit à la fois des gamètes males et des gamètes femelles.
Organisme qui obtient son énergiede la matière organique d’autres organismes.
L’un des six gaz à effet de serre dont il est prévu de réduire les émissions au titre du Protocole de Kyoto. Abondamment utilisé dans l’industrie lourde pour isoler l’appareillage haute tension et pour faciliter la fabrication des systèmes de refroidissement des câbles et des semi-conducteurs.
Organisme qui possède trois paires de pattes.
Capacité que peut avoir un système quelconque à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures
Organisme de la même couleur que le milieu ambiant.
Couches différenciées au sein d’une coupe de sol verticale, différant les unes des autres par des caractéristiques telles que la couleur, la texture, la teneur et la nature de la matière organique, la présence et la nature des êtres vivants, la teneur en eau et le régime hydrique, la présence ou l’absence de calcaire..
Organisme vivant dans l’humus.
Désigne les espèces animales ou végétales qui se nourrissent de l’humus du sol.
Ensemble d’acides résultant de l’évolution des débris organiques non minéralisés de la litière.
Touffe de plumes à la surface de la tête de certains oiseaux.
Terme collectif désignant le groupe des composés organiques partiellement halogénés comprenant notamment les chlorofluorocarbones (CFC), les hydrochlorofluorocarbones (HCFC), les hydrofluorocarbones (HFC), les halons, le chlorure de méthyle et le bromure de méthyle. Bon nombre d’entre eux ont un potentiel de réchauffement global élevé. Les hydrocarbures halogénés contenant du chlore et du brome contribuent également à l’appauvrissement de la couche d’ozone.
Figurent parmi les six gaz à effet de serre dont il est prévu de diminuer les émissions au titre du Protocole de Kyoto. Sous produits de la production d’aluminium et de l’enrichissement de l’uranium, ils remplacent aussi les chlorofluorocarbones dans la fabrication des semi-conducteurs.
Comptent parmi les six gaz à effet de serre dont les émissions doivent être réduites au titre du Protocole de Kyoto. Produits commercialement pour remplacer les chlorofluorocarbones, ils sont utilisés principalement dans le secteur de la réfrigération et de la fabrication des semi-conducteurs.
Se dit d’un sol subissant un engorgement hydrique temporaire et présentant une couche imperméable à faible profondeur, colorée par des oxydes de fer
Composante du système climatique formée des eaux superficielles et souterraines liquides, telles que les océans, les mers, les cours d’eau, les lacs d’eau douce, les eaux souterraines, etc.
Plante vivant sur des sols rarement inondés mais constamment proche de la saturation en eau (cas des plantes des marais et tourbières).
Diminution de l’apport d’oxygène au niveau des tissus.
Feuille composée d’un nombre impair de folioles.
Organe qui ne s’ouvre pas à maturité.
Ensemble de fleurs.
Etage dont la limite supérieure est le niveau à partir duquel les peuplements sont soit toujours immergés soit très rarement émergés, et dont la limite inférieure est celle qui est compatible avec la vie des algues photophiles.
Caractérise un régime alimentaire constitué d’insectes. (de nombreux ordres d’oiseaux sont basés sur ce type de régime, le Torcol fourmilier par ex). Il s’agit aussi d’un ordre de mammifère en zoologie
Ensemble de bractées situées à la base de l’inflorescence.
Atome dont les noyaux atomiques contiennent le même nombre de proton(s) mais un nombre différent de neutron(s).
Pétale supérieur des orchidées.
Pièce buccale chez les insectes.
Lèvre supérieur couvrant la base des mandibules et formant la voûte de la cavité buccales des insectes.
Organisme vivant sous les pierres.
Biotope d’eau calme .
Espèce basée sur la consommation de lignine (la lignine correspond à la cellulose du bois)
Région principale, large et applatie de la feuille. Elle peut être divisée en foliole dans le cas d’une feuille composée.
Assemblage complexe de lipides et de protéines qui permet le transport des lipides insolubles dans le plasma sanguin.
Organisme s’attaquant au substrat dur.
Enveloppe rigide terrestre la plus superficielle. Elle est divisée en un certain nombre de plaques tectoniques également appelées plaques lithosphériques.
Organisme vivant dans la litière.
Biotope des eaux courrantes.
Organisme complexe vivant à l’intérieur de leur hôte.
Pièce buccale formant la machoire chez les insectes.
Etage caractérisé oar des peuplements qui supportent ou exigent des émersions prolongées en tant que phénomène normal sans support d’immersion continue ou presque continue.
Animaux qui vivent dans un substrat, comme le sol ou les sédiments aquatiques.
Granule pigmentaire d’autant plus important que la température est basse et l’humidité est forte.
Présence de pigments noirs, en général de la mélanine.
Pollinisation par les abeilles.
Espèce se nourrissant de miel.
Désigne une espèce se nourrissant de miel mais pas exclusivement
Plante ayant des exigences modérées en eau et en humidité atmosphérique (cas des plantes des écosystèmes tempérés).
Couche de l’atmosphère située entre la stratosphère et l’ionosphère, vers 50 à 80 km. La température décroit avec l’altitude.
Désigne un milieu aquatique dans lequel la teneur en élément minéraux nutritifs est moyenne
Ensemble de populations interconnectées entre elles. Certaines d’entre elles vont s’éteindre totalement, d’autres temporairement car elles ont la possibilités d’être recolonisées par d’autres populations démographiquement excédentaires.
Troisième segment abdominal.
Ensemble des conditions de température, d’humidité et de vents particulières à un espace homogène de faible étendue à la surface du sol, dues à la topographie, à la végétation et à la proximité de l’eau
Organisme simple vivant à l’intérieur de leur hôte.
Déplacement de population périodique ou apériodique permettant à certains animaux de se soustraire à des conditions défavorables.
Propriété que possèdent certaines espèces animales, pour assurer leur protection, de se rendre semblables par l’apparence au milieu environnant, à un être de ce milieu, à un individu d’une espèce mieux protégée ou moins redoutée.
Division cellulaire d’une cellule mère en deux cellules filles possédant le même patrimoine génétique que la cellule dont elles sont issues.
Plante dont la graine possède un seul cotylédon.
Science qui étudie les fourmis
Organisme vivant dans les mousses.
Modification accidentelle de la séquence nucléotidique d’un gène.
Interaction dans laquelle les deux parties trouvent un avantage réciproque. Ils peuvent mener une existence indépendante mais elle se fait au dépend de leur croissance et de leur développement.
Ensemble des filaments constituant l’appareil végétatif du champignon.
Organisme consommant des champignons.
Régime alimentaire basée sur la consommation de champignon ou mycètes
Pollinisation par les mouches.
Pollinisation par les fourmis.
Organisme se nourissant de cadavres.
Désigne les espèces animales se nourrissant de cadavre
Organisme pélagique capable de se déplacer contre le courant.
Disposition prises par les nervures sur une feuille.
Substance chimique permettant le transfert de l’inforation nerveuse d’un neurone à l’autre, en traversant la synapse (située entre deux neurones).
Espèces nécessitant un complexe absorbant saturé mais sans excès d’ions calcium (Ex : Urtica doica)
Position fonctionnelle et spatiale d’un organisme vivant. Habitat dans lequel il vit, la période de temps où il est présent et les ressources qu’ils tirent de cet habitat.
Organisme vivant sur des nids.
Monomère constitutif des acides nucléiques composés d’une molécule de sucre à 5 carbone, d’une base organique (cet ensemble forme un nucléoside) et d’un, deux ou trois acides phosphoriques. Les nucléotides sont au nombre de quatre pour chaque acide nucléique et diffèrent par leur base organique Adénine, Cytosine, Guanine et Thymine pour l’ADN (le sucre étant un désoxyribose) ; et Adénine, Cytosine, Guanine et Uracile pour l’ARN (associées à un ribose).
Stade immature semblable à l’adulte chez les arthropodes, en particulier chez les insectes, avec un développement direct.
Oeil simple photorécepteur des insectes groupé par deux ou par trois sur le front ou sur le vertex.
Espèce s’accomodant de sols pauvres – OU milieu pauvre en éléments nutritifs.
Inflorescence dont les pédoncules partent du même niveau.
Qui porte des ombelles.
Adapaté à la pluie.
Pigment naturel de couleur jaune – rouge – violet qui colore les ommatidies des insectes, les téguments de la mante religieuse et les épidermes larvaires des insectes. Ce sont des substances sécrétées par l’animal sous l’influence d’hormones.
Organisme ont le régime alimentaire est étendu, incluant des substances d’origine animale et végétale. Il s’alimente sur plus d’un niveau trophique.
Subdivision de la classification regroupant les familles.
Formation des organes au stabe embryonnaire. Cette étape suit la segmentation et la gastrulation.
Adapté à la montagne
Diffusion de substances en solutions aqueuses au travers des membranes cellulaires.
Orifice des champignons libérant les spores.
La femelle pond des oeufs dont l’éclosion a lieu après la sortie des voies génitales, au terme d’une période de développement embryonnaire.
Pourvu d’oxygène
L’un des six gaz à effet de serre dont il est prévu de réduire les émissions au titre du Protocole de Kyoto. L’agriculture (gestion des sols et des effluents d’élevage) est la principale source anthropique d’oxyde nitreux, même si l’épuration des eaux usées, la combustion des combustibles fossiles et les procédés de l’industrie chimique jouent également un rôle important à cet égard. L’oxyde nitreux est aussi émis naturellement par toute une série de sources biologiques dans les sols et dans l’eau, et notamment par l’action microbienne dans les forêts tropicales humides.
Forme triatomique de l’oxygène (O3), l’ozone est un constituant gazeux de l’atmosphère. Dans la troposphère, il se forme naturellement, mais aussi par suite de réactions photochimiques faisant intervenir des gaz dus à l’activité humaine (smog). L’ozone troposphérique agit comme un gaz à effet de serre. Dans la stratosphère, l’ozone résulte de l’interaction du rayonnement ultraviolet solaire et de l’oxygène moléculaire (O2). L’ozone stratosphérique joue un rôle décisif dans l’équilibre radiatif stratosphérique. C’est dans la couche d’ozone que sa concentration est la plus élevée.
Science issue de la paléontologie à partir des années 1960. Elle étudie les relations des êtres vivants fossiles avec leur milieu de vie, sous les aspects physico-chimiques (paléobiotope) aussi bien que biologiques (paléobiocénose). Elle étudie les paléoenvironnements qu’on cherche à reconstituer grâce aux fossiles et aux modèles contemporains.
Appendice pair articulé des insectes.
Inflorescence en forme de grappe.
Mode de reproduction sans fécondation par le mâle.
Tache d’habitat
Grande superficie incluant un ou plusieurs écosystèmes
Petit pédoncule terminé par une fleur.
Axe d’une inflorescence qui porte une ou plusieurs fleurs.
Faire référence aux eaux ouvertes de la mer.
Ensemble des organismes vivants en pleine eau (contraire de Benthos).
Plante vivant plusieurs années.
Corolle + Calice.
Paroi du fruit.
Partie cylindrique de la feuille ratachée à la tige.
Ensemble des populations présentes dans un milieu donné.
Pollinisation par les papillons de nuit.
Plante vasculaire se reproduisant grâce à ses fleurs et ses graines.
étude de la répartition dans le temps des phénomènes périodiques caractéristiques du cycle vital des organismes dans la nature; ce cycle est le plus souvent annuel
Ensemble des caractères apparents d’un individu
Tendance à rester près de son lieu de naissance.
Tissu végétal composé de cellules longues assurant le transport de la sève sucrée des feuilles vers les différents organes de la plante.
Processus biochimique se déroulant dans le chloroplaste des plantes. L’eau, le dioxyde de carbone et l’énergie lumineuse sont utilisés pour produire des composés organiques.
Organisme vivant dans la nappe phréatique.
Science qui étudie les communautés végétales, en se basant au départ sur des listes floristiques les plus exhaustives possibles.
Ensemble des organismes de petites tailles, peu mobiles, qui peuplent les eaux superficielles. On rencontre le phytoplancton (végétal) et le zooplanctpn (animal).
Organismes dont une partie du corps dépasse de la surface de l’eau.
Substance ou processus de nature physique, chimique ou biologique susceptible de contaminer les divers écosystèmes qu’ils soient terrestres ou aquatiques.
Fécondation d’un ovule par plusieurs spermatozoïdes.
Ensemble géographiquement localisé d’individu appartenant à la même espèce.
Proportion de vide présente dans un sol vide, occupé par l’eau quand il pleut et par l’air autrement.
Pigment biliaire jouant un rôle important dans le métabolisme respiratoire.
Organisme unicellulaire sans noyau individualisé.
Quantité de biomasse produite par unité de surface et unité de temps.
Organisme qui a la machoire dirigé vers l’avant.
Plaque dorsale située sur le prothorax.
Hermaphrodisme séquentiel dans lequel la fonction mâle précède la fonction femelle.
Macromolécule biologique constituée de une ou plusieurs chaînes d’acides aminés, parfois associées à un composé différent : le groupement prosthétique.
Premier segment thoracique.
Hermaphrodisme séquentiel dans lequel la fonction femelle précède la fonction mâle.
Animal possédant une seule cellule.
Pollinisation par les papillons de jour.
Adapaté au froid.
Pigment naturel de couleur blanche – jaune – rouge. Ils sont présents dans la majorité des êtres vivants.
Ecosystème, habitat ou populations qui reçoit des entrées de matériaux ou d’organismes.
Arrêt de développement temporaire ou diminution d’activité liée à des conditions physiologiques défavorables. La dormance cesse dès que les conditions écologiques redeviennent favorables et ne nécessite pas de conditions spécifiques de levées de dormance.
Pigment naturel de couleur jaune – brun, souvent présent sous forme de sels.
Fait d’enlever des plantes ou des animaux à une population.
Ajout d’individus à une population suite à la reproduction.
Plume rigide de la queue des oiseaux.
Plume des ailes qui permet aux oiseaux de voler.
Représentation des diverses voies des flux énergétiques entre populations dans une communauté.
Espace qui présente une biodiversité remarquable et dans lequel vivent des espèces patrimoniales à sauvegarder. Ces espèces y trouvent les conditions favorables pour réaliser tout ou partie de leur cycle de vie (alimentation et repos, reproduction et hivernage…). Ce sont soit des réservoirs biologiques à partir desquels des individus d’espèces présentes se dispersent, soit des espaces rassemblant des milieux de grand intérêt. Ces réservoirs de biodiversité peuvent également accueillir des individus d’espèces venant d’autres réservoirs de biodiversité.
Capacité d’une population à retrouver son état d’équilibre après la perturbation.
Substance ou objet nécessaire au maintien, à la croissance et à la reproduction d’un organisme
Organismes adaptés aux forts courrants.
Tiges généralement horizontales ou obliques, relativement minces et allongées, plus ou moins charnues (Ex : Certaines Poaceae, Cupereaceae).
Rythme biologique dont la période est de 24 heures (ex : sommeil chez l’homme).
Alternance du jour et de la nuit.
Désigne les animaux qui se nourrissent de matière organique morte. Il constitue une part importante de la faune du sol et de la litière (vers de terre…).
Ensemble des organismes dépendant, durant une partie au moins de leur cycle de vie, de la décomposition du bois mort ou dépérissant et des organismes associés
Etat de l’atmosphère contenant la quantité maximale de vapeur d’eau compatible avec la température et la pression du moment.
Organisme vivant sur des rochers.
Adapté à une faible luminosité.
Ébranlement brusque de l’écorce terrestre résultant d’un mouvement en profondeur.
Elément du calice d’une fleur.
Organisme fixé sur le substrat.
Espèces qui se développent de préférence sur terrain silicieux (ou calcifuge) car elles sont sensibles à une teneur élevée en calcium dans le sol ou soit elles ne supportent pas une insuffisance dans la teneur en fer et manganèse.
Partie la plus superficielle de l’écorce terrestre qui résulte de la décomposition ou de la fragmentation de la roche mère sous-jacente (lithosphère) sous l’influence des agents physico-chimiques et biologiques.
Groupe de sporanges.
voir phanérogame.
Pollinisation par les guêpes
Organe qui renferme les spores chez les cryptogames.
Corpuscule unicellulaire ou pluricellulaire pouvant donner naissance sans fécondation à un nouvel individu.
Organe qui contient un ou plusieurs sporanges.
appareil asexué, producteur de spores.
Espèce possédant une faible valence écologique, qui supporte des variations limitées des facteurs écologiques (ex : sténotherme, sténohalin, sténohygrique).
Êtres vivants présentant un intervalle de tolérance faibles pour le degré de salinité des eaux
Organisme aquatique possédant un faible intervalle de tolérance relatif à la concentration en oxygène dissous
Êtres vivants présentant un intervalle de tolérance faibles aux variations de température
Orifice respiratoire des insectes OU Extrémité du pistil d’une fleur.
Tige grêle partant de la base de la tige principale qui s’allonge sur le sol pour donner une nouvelle plante.
Couche de l’atmosphère terrestre qui s’étend de la troposphère (10 km de la surface de la terre) à la mésosphère (50 km de la surface de la terre). On retrouve la couche d’ozone dans cette couche.
Région très stratifiée de l’atmosphère située au-dessus de la troposphère et s’étendant de 10 kilomètres (9 kilomètres aux hautes latitudes et 16 kilomètres en zone tropicale en moyenne) à 50 kilomètres d’altitude environ.
Façon dont les éléments sont assemblés : formation en agrégats (sols équilibrés) et sans agrégats (sols déséquilibrés). La structure d’un horizon intervient dans son aération, sa perméabilité, l’évaporation, le lessivage, la résistance, le lessivage, la résistance à l’érosion, la pénétration des racines, la germination des graines et des spores, l’abondance et la diversité de la faune et de la flore du sol.
Espèces interstitielles strictes.
Espèces interstitielles préférentielles.
Espèces interstitielles étrangères.
Passage de la glace en vapeur d’eau, sans passer par l’état liquide.
Etage où se localise les organismes qui supportent ou exigent une émersion continue.
Association obligatoire et indissociable de deux espèces (ex : lichen)
Etude des communautés vivantes et des rapports réciproques entre les espèces et leur environnement. Elle prend en compte les paramètres étudiés lors de l’autécologie, plus la composition spécifique des communautés, la structure spatiale des biocénoses et le fonctionnement de cette biomasse en terme de transfert de matière et d’énergie.
Phase de contraction du coeur.
Poissons à squelette osseux.
Terme regroupant les pétales et les sépales lorsqu’elles ne sont pas distinctes.
Composition du sol en les différents éléments minéraux présents.
Adapté à la température.
Couche de l’atmosphère située au delà de 80 km. La température croit avec l’altitude.
Plante dont le cycle de vie est inférieur à un an.
Organe le plus souvent aérien dont le développement et la ramification déterminent le « port » ou physionomie de la
Organismes n’ayant que peu de chance de vivre à l’extérieur d’une grotte.
Organismes présentant certaines particularités anatomiques et morphologiques qui les prédisposent à vivre dans la grotte. Ils peuvent s’y reproduire mais aussi en sortir : hôtes électifs.
Organismes étrangers à la grotte qui vivent la plupart du temps à l’extérieur mais peuvent pénétrer à l’intérieur si les conditions qu’ils recherchent sont présentes dans ce milieu.
Partie inférieure de l’atmosphère, s’étendant de la surface de la Terre à environ 10 kilomètres d’altitude aux latitudes moyennes (cette altitude variant en moyenne de 9 kilomètres aux latitudes élevées à 16 kilomètres en zone tropicale), où se forment les nuages et se produisent les phénomènes météorologiques. Dans la troposphère, la température diminue généralement avec l’altitude.
Tiges ou portions de tiges renflées en masses éllipsoïdales à sphériques, parfois plus ou moins rétércies au niveau des noeuds. Ils se forment sur des rhizomes (Arum maculatum), sur des stolons plus ou moins souterrains (Solanum tuberosum), sur des tiges épicotylées (rare) ou sur des tiges hypocotylées (Raphanus sativus).
Remontée d’eau profonde vers la surface des océans.
Capacité que possède une espèce de peupler des milieux différents caractérisés par des valeurs plus ou moins grandes des facteurs écologiques.
Ensemble de feuilles ou de rameaux naissant tout autour d’un axe sur un même noeud.
Plante vivant plusieurs années.
Mode de transport des graines par les animaux.
Dans ce cas les graines généralement dures et petites comportent un appendice charnu, riche en corps gras. Cet élaïosome a pour fonction d’attirer les animaux (le plus souvent les fourmis). Les fourmis ne consomment que l’élaïosome et laissent la graine soit dans le terrier soit sur le sol.
Envie de vous engager au quotidien avec des gestes simples ? Repenser nos comportements et la gestion de nos déchets est un moyen essentiel de contrer les effets dévastateurs liés aux dérèglements de notre planète.
Pour vous guider dans vos premiers pas, nous vous proposons gratuitement notre ebook pour toute inscription à notre newsletter. Vous y trouverez une synthèse avec des astuces simples à mettre en place, et des liens pour étoffer votre lecture.
Renseignez votre email, et recevez directement notre guide des « 10 gestes simples pour préserver la nature » ainsi que nos futures publications.