Les habitats

L’habitat naturel est un concept qui se définit par : un espace géographique, des facteurs environnementaux (climat, sol,…, faune et flore) et une organisation dans l’espace et dans le temps.

L’habitat naturel est un concept qui se définit par : (i) un espace géographique, (ii) des facteurs environnementaux (climat, sol,…, faune et flore), (iii) et une organisation dans l’espace et dans le temps. Tout en tenant compte de l’ensemble des facteurs environnementaux, la détermination des habitats naturels s’appuie essentiellement sur la végétation qui constitue le meilleur intégrateur des conditions écologiques d’un milieu. Aussi, à chaque fois que, dans un territoire donné, les mêmes conditions environnementales sont réunies, on retrouve sensiblement le même ensemble de plantes ou groupement végétal.

Phytosociologie

La phytosociologie est la discipline botanique étudiant les relations spatiales et temporelles entre les végétaux. Dans la mesure où la phytosociologie ne se contente pas de décrire des assemblages de plantes, mais étudie également les relations des plantes entre elles et avec leur milieu de vie (climat, sol), ainsi que leur répartition géographique. La phytosociologie permet d’étudier les relations abiotiques des végétations avec le climat, les sols et la géomorphologie locale ainsi que les relations biotiques avec les autres communautés végétales, les communautés animales et les sociétés humaines. Ainsi, la reconnaissance des groupements végétaux révèle de manière plus précise les fonctionnements écologiques locaux, la bioindication des communautés étant l’intersection des valences écologiques de toutes les espèces les constituant.

Classification

Il existe plusieurs classifications des végétations, qui pour certaines définissent proprement des classes phytosociologiques (catégorisation CATMINAT), pour d’autres s’appuient sur ces classifications en envisageant une catégorisation plus large, comme Corine Biotope, qui «pour prendre en compte l’importance de la faune et le rôle des communautés dans le façonnement du paysage, et pour accorder une place convenable aux types d’habitat plus anthropogéniques ou zoogéniques, [a] incorporé une large proportion de références aux formes physiques, intégré des écosystèmes et des faciès phytosociologiquement non significatifs».

Corine Biotope

La base de données Corine Biotope est une typologie des habitats naturels et semi-naturels présents sur le sol européen. Issu de la commission Corine chargée de la coordination de l’information en environnement, le programme a abouti en 1991 à la proposition d’une typologie arborescente à six niveaux maximum, basée sur la description de la végétation.  Corine Biotope s’intéresse à la classification des habitats dits « naturels » (où l’action de l’homme est censée être relativement faible), mais aussi les habitats dits « semi-naturels » voire artificiels (milieux dont l’existence et la pérennité sont essentiellement dues à l’action des activités humaines : friches agricoles, pâturages extensifs, carrières, etc.).

Directive Habitats Faune Flore

La Commission européenne a, par ailleurs, publié le 21 mai 1992 la directive « Habitats-Faune-Flore » qui définit un cadre commun pour la conservation de la biodiversité en Europe. Les habitats naturels et semi-naturels les plus menacés devant être préservés sont répertoriés dans ses annexes. Un manuel d’interprétation de ces habitats, le manuel EUR 15, a parallèlement été établi. Ce dernier s’inspire largement de la typologie CORINE Biotopes.

Dans la définition des sites faisant partie du réseau Natura 2000, il est utilisé une autre typologie, recensant les « habitats d’intérêt communautaire » : le code Natura 2000. Afin de permettre le passage d’une typologie à une autre, une correspondance est faite entre ces deux référentiels, pour les habitats se trouvant à la fois dans Natura 2000 et dans Corine Biotope. Par exemple, les hêtraies-sapinières acidiphiles de l’étage montagnard inférieur, code Natura 2000 9110, correspond à l’habitat Corine Biotope n°41.112

Liste des habitats

On peut distinguer 9 types d’habitats :

  1. Habitats côtiers et végétations halophytiques
  2. Dunes maritimes et continentales
  3. Habitats d’eaux douces
  4. Landes et fourres tempérés
  5. Fourres sclérophylles (matorrals)
  6. Formations herbacées naturelles et semi-naturelles
  7. Tourbières hautes et tourbières basses

1 – HABITATS CÔTIERS ET VÉGÉTATIONS HALOPHYTIQUES

11 – Eaux marines et milieux à marées :    

  • 1110 – Bancs de sable à faible couverture permanente d’eau marine (57 sites)    
  • 1120 – Herbiers à Posidonia (Posidonion oceanicae)* (18 sites)    
  • 1130 – Estuaires (50 sites)    
  • 1140 – Replats boueux ou sableux exondés à marée basse (68 sites)    
  • 1150 – Lagunes côtières* (59 sites)    
  • 1160 – Grandes criques et baies peu profondes (24 sites)    
  • 1170 – Récifs (58 sites)

12 – Falaises maritimes et plages de galets :    

  • 1210 – Végétation annuelle des laissés de mer (108 sites)    
  • 1220 – Végétation vivace des rivages de galets (29 sites)    
  • 1230 – Falaises avec végétation des côtes atlantiques et baltiques (48 sites)    
  • 1240 – Falaises avec végétation des côtes méditerranéennes avec Limonium spp. endémiques (25 sites)

13 – Marais et prés-salés atlantiques et continentaux :    

  • 1310 – Végétations pionnières à Salicornia et autres espèces annuelles des zones boueuses et sableuses (81 sites)    
  • 1320 – Prés à Spartina (Spartinion maritimae) (26 sites)    
  • 1330 – Prés salés atlantiques (Glauco-Puccinellietalia maritimae) (61 sites)    
  • 1340 – Prés salés intérieurs* (10 sites)

14 – Marais et prés-salés méditerranéens et thermo-atlantiques :    

  • 1410 – Prés salés méditerranéens (Juncetalia maritimi) (58 sites)    
  • 1420 – Fourrés halophiles méditerranéens et thermo-atlantiques (Sarcocornetea fruticosi) (56 sites)    
  • 1430 – Fourrés halo-nitrophiles (Pegano-Salsoletea) (11 sites)

15 – Steppes continentales halophiles et gypsophiles :    

1510 – Steppes salées méditerranéennes (Limonietalia)* (10 sites)

2 – DUNES MARITIMES ET CONTINENTALES

21 – Dunes maritimes des rivages atlantiques :    

  • 2110 – Dunes mobiles embryonnaires (88 sites)    
  • 2120 – Dunes mobiles du cordon littoral à Ammophila arenaria (dunes blanches) (89 sites)    
  • 2130 – Dunes côtières fixées à végétation herbacée (dunes grises)* (65 sites)    
  • 2150 – Dunes fixées décalcifiées atlantiques (Calluno-Ulicetea)* (7 sites)    
  • 2160 – Dunes à Hippophaë rhamnoides (11 sites)    
  • 2170 – Dunes à Salix repens ssp. argentea (Salicion arenariae) (28 sites)    
  • 2180 – Dunes boisées des régions atlantique, continentale et boréale (28 sites)    
  • 2190 – Dépressions humides intradunales (52 sites)

22 – Dunes maritimes des rivages méditerranéens :    

  • 2210 – Dunes fixées du littoral du Crucianellion maritimae (31 sites)    
  • 2230 – Dunes avec pelouses du Malcolmietalia (27 sites)    
  • 2240 – Dunes avec pelouses du Brachypodietalia et des plantes annuelles (2 sites)    
  • 2250 – Dunes littorales à Juniperus spp.* (21 sites)    
  • 2260 – Dunes à végétation sclérophylle du Cisto-Lavenduletalia (16 sites)    
  • 2270 – Dunes avec forêts à Pinus pinea et/ou Pinus pinaster* (31 sites)

23 – Dunes continentales, anciennes et décalcifiées :    

  • 2330 – Dunes intérieures avec pelouses ouvertes à Corynephorus et Agrostis (29 sites)

3 – HABITATS D’EAUX DOUCES

31 – Eaux dormantes :    

  • 3110 – Eaux oligotrophes très peu minéralisées des plaines sablonneuses (Littorelletalia uniflorae) (76 sites)    
  • 3120 – Eaux oligotrophes très peu minéralisées sur sols généralement sableux de l’ouest méditerranéen à Isoetes spp. (17 sites)    
  • 3130 – Eaux stagnantes, oligotrophes à mésotrophes avec végétation du Littorelletea uniflorae et/ou du Isoëto-Nanojuncetea (182 sites)    
  • 3140 – Eaux oligo-mésotrophes calcaires avec végétation benthique à Chara spp. (129 sites)    
  • 3150 – Lacs eutrophes naturels avec végétation du Magnopotamion ou Hydrocharition (223 sites)    
  • 3160 – Lacs et mares dystrophes naturels (41 sites)    
  • 3170 – Mares temporaires méditerranéennes* (54 sites)

32 – Eaux courantes :    

  • 3220 – Rivières alpines avec végétation ripicole herbacée (36 sites)    
  • 3230 – Rivières alpines avec végétation ripicole ligneuse à Myricaria germanica (17 sites)    
  • 3240 – Rivières alpines avec végétation ripicole ligneuse à Salix elaeagnos (52 sites)    
  • 3250 – Rivières permanentes méditerranéennes à Glaucium flavum (19 sites)    
  • 3260 – Rivières des étages planitiaire à montagnard avec végétation du Ranunculion fluitantis et du Callitricho-Batrachion (279 sites)    
  • 3270 – Rivières avec berges vaseuses avec végétation du Chenopodion rubri p.p. et du Bidention p.p. (65 sites)    
  • 3280 – Rivières permanentes méditerranéennes du Paspalo-Agrostidion avec rideaux boisés riverains à Salix et Populus alba (18 sites)    
  • 3290 – Rivières intermittentes méditerranéennes du Paspalo-Agrostidion (14 sites)

4 – LANDES ET FOURRES TEMPERES    

  • 4010 – Landes humides atlantiques septentrionales à Erica tetralix (52 sites)    
  • 4020 – Landes humides atlantiques tempérées à Erica ciliaris et Erica tetralix* (88 sites)    
  • 4030 – Landes sèches européennes (278 sites)    
  • 4040 – Landes sèches atlantiques littorales à Erica vagans* (6 sites)    
  • 4060 – Landes alpines et boréales (93 sites)    
  • 4070 – Fourrés à Pinus mugo et Rhododendron hirsutum (Mugo-Rhododendretum hirsuti)* (4 sites)    
  • 4080 – Fourrés de Salix spp. subarctiques (12 sites)    
  • 4090 – Landes oro-méditerranéennes endémiques à genêts épineux (56 sites)

5 – FOURRES SCLEROPHYLLES (MATORRALS)

51 – Fourrés subméditerranéens et tempérés :

  • 5110 – Formation stables xérothermophiles à Buxus sempervirens des pentes rocheuses (Berberidion p.p.) (136 sites)
  • 5120 – Formations montagnardes à Cytisus purgans (41 sites)
  • 5130 – Formations à Juniperus communis sur landes ou pelouses calcaires (221 sites)

52 – Matorrals arborescents méditerranéens :    

  • 5210 – Matorrals arborescents à Juniperus spp. (93 sites)

53 – Fourrés thermo-méditerranéens et présteppiques :    

  • 5310 – Taillis de Laurus nobilis (7 sites)    
  • 5320 – Formations basses d’euphorbes près des falaises (15 sites)    
  • 5330 – Fourrés thermoméditerranéens et prédésertiques (13 sites)

54 – Phryganes :    

  • 5410 – Phryganes ouest-méditerranéennes des sommets de falaises (Astralago-Plantaginetum subulatae) (9 sites)

6 – FORMATIONS HERBACÉES NATURELLES ET SEMI-NATURELLES

61 – Pelouses naturelles :    

  • 6110 – Pelouses rupicoles calcaires ou basiphiles du Alysso-Sedion albi* (143 sites)    
  • 6120 – Pelouses calcaires de sables xériques* (26 sites)    
  • 6130 – Pelouses calaminaires du Violetalia calaminariae (4 sites)    
  • 6140 – Pelouses pyrénéennes siliceuses à Festuca eskia (28 sites)    
  • 6150 – Pelouses boréo-alpines siliceuses (7 sites)    
  • 6170 – Pelouses calcaires alpines et subalpines (95 sites)

62 – Formations herbacées sèches semi-naturelles et faciès d’embuissonnement :    

  • 6210 – Pelouses sèches semi-naturelles et faciès d’embuissonnement sur calcaires (Festuco Brometalia)(*sites d’orchidées remarquables)* (462 sites)    
  • 6220 – Parcours substeppiques de graminées et annuelles du Thero-Brachypodietea* (89 sites)    
  • 6230 – Formations herbeuses à Nardus, riches en espèces, sur substrats siliceux des zones montagnardes (et des zones submontagnardes de l’Europe continentale)* (151 sites)
  • 6240 – Pelouses steppiques sub-pannoniques* (2 sites)

63 – Forêts sclérophylles pâturées (déhesas) :    

  • 6310 – Dehesas à Quercus spp. sempervirents (3 sites)

64 – Prairies humides semi-naturelles à hautes herbes :    

  • 6410 – Prairies à Molinia sur sols calcaires, tourbeux ou argilo-limoneux (Molinion caeruleae) (284 sites)    
  • 6420 – Prairies humides méditerranéennes à grandes herbes du Molinio-Holoschoenion (31 sites)    
  • 6430 – Mégaphorbiaies hygrophiles d’ourlets planitiaires et des étages montagnard à alpin (489 sites)    
  • 6440 – Prairies alluviales inondables du Cnidion dubii (7 sites)

65 – Prairies mésophiles :    

  • 6510 – Prairies maigres de fauche de basse altitude (Alopecurus pratensis, Sanguisorba officinalis) (299 sites)    
  • 6520 – Prairies de fauche de montagne (113 sites)

7 – TOURBIÈRES HAUTES ET TOURBIERES BASSES

71 – Tourbières acides à sphaignes :    

  • 7110 – Tourbières hautes actives* (203 sites)    
  • 7120 – Tourbières hautes dégradées encore susceptibles de régénération naturelle (106 sites)    
  • 7130 – Tourbières de couverture (* pour les tourbières actives)* (1 site)    
  • 7140 – Tourbières de transition et tremblantes (158 sites)    
  • 7150 – Dépressions sur substrats tourbeux du Rhynchosporion (114 sites)

72 – Tourbières neutro-alcalines (bas marais alcalins) :    

  • 7210 – Marais calcaires à Cladium mariscus et espèces du Carex davallianae* (103 sites)    
  • 7220 – Sources pétrifiantes avec formation de travertins (Cratoneurion)* (133 sites)    
  • 7230 – Tourbières basses alcalines (201 sites)    
  • 7240 – Formations pionnières alpines du Caricion bicoloris-atrofuscae* (20 sites)

8 – HABITATS ROCHEUX ET GROTTES

81 – Eboulis rocheux :    

  • 8110 – Éboulis siliceux de l’étage montagnard à nival (Androsacetalia alpinae et Galeopsietalia ladani) (83 sites)    
  • 8120 – Éboulis calcaires et de schistes calcaires des étages montagnard à alpin (Thlaspietea rotundifolii) (57 sites)    
  • 8130 – Éboulis ouest-méditerranéens et thermophiles (138 sites)    
  • 8150 – Éboulis médio-européens siliceux des régions hautes (13 sites)    
  • 8160 – Éboulis médio-européens calcaires des étages collinéen à montagnard* (45 sites)

82 – Végétation chasmophytique des pentes rocheuses :    

  • 8210 – Pentes rocheuses calcaires avec végétation chasmophytique (263 sites)    
  • 8220 – Pentes rocheuses siliceuses avec végétation chasmophytique (175 sites)    
  • 8230 – Roches siliceuses avec végétation pionnière du Sedo-Scleranthion ou du Sedo albi-Veronicion dillenii (95 sites)    
  • 8240 – Pavements calcaires* (14 sites)

83 – Autres habitats rocheux :    

  • 8310 – Grottes non exploitées par le tourisme (237 sites)    
  • 8330 – Grottes marines submergées ou semi-submergées (12 sites)    
  • 8340 – Glaciers permanents (13 sites)

9 – LES FORÊTS

91 – Forêts de l’Europe tempérée :    

  • 9110 – Hêtraies du Luzulo-Fagetum (61 sites)    
  • 9120 – Hêtraies acidophiles atlantiques à sous-bois à Ilex et parfois à Taxus (Quercion robori-petraeae ou Ilici-Fagenion) (163 sites)    
  • 9130 – Hêtraies du Asperulo-Fagetum (226 sites)    
  • 9140 – Hêtraies subalpines médio-européennes à Acer et Rumex arifolius (39 sites)    
  • 9150 – Hêtraies calcicoles médio-européennes à Cephalanthero-Fagion (146 sites)    
  • 9160 – Chênaies pédonculées ou chênaies-charmaies sub-atlantiques et médio-européennes du Carpinion betuli (111 sites)    
  • 9170 – Chênaies-charmaies du Galio-Carpinetum (15 sites)    
  • 9180 – Forêts de pentes, éboulis ou ravins du Tilio-Acerion* (233 sites)    
  • 9190 – Vieilles chênaies acidophiles des plaines sablonneuses à Quercus robur (65 sites)    
  • 91A0 – Vieilles chênaies des îles Britanniques à Ilex et Blechnum (4 sites)    
  • 91B0 – Frênaies thermophiles à Fraxinus angustifolia (5 sites)    
  • 91D0 – Tourbières boisées* (128 sites)    
  • 91E0 – Forêts alluviales à Alnus glutinosa et Fraxinus excelsior (Alno-Padion, Alnion incanae, Salicion albae)* (477 sites)    
  • 91F0 – Forêts mixtes à Quercus robur, Ulmus laevis, Ulmus minor, Fraxinus excelsior ou Fraxinus angustifolia, riveraines des grands fleuves (Ulmenion minoris) (79 sites)

92 – Forêts méditerranéennes à feuilles caduques :    

  • 9230 – Chênaies galicio-portugaises à Quercus robur et Quercus pyrenaica (21 sites)    
  • 9260 – Forêts de Castanea sativa (31 sites)    
  • 92A0 – Forêts-galeries à Salix alba et Populus alba (84 sites)    
  • 92D0 – Galeries et fourrés riverains méridionaux (Nerio-Tamaricetea et Securinegion tinctoriae) (38 sites)

93 – Forêts sclérophylles méditerranéennes :    

  • 9320 – Forêts à Olea et Ceratonia (10 sites)    
  • 9330 – Forêts à Quercus suber (24 sites)
  • 9340 – Forêts à Quercus ilex et Quercus rotundifolia (115 sites)
  • 9380 – Forêts à Ilex aquifolium (11 sites)

94 – Forêts de conifères alpines et subalpines    

  • 9410 – Forêts acidophiles à Picea des étages montagnard à alpin (Vaccinio-Piceetea) (54 sites)
  • 9420 – Forêts alpines à Larix decidua et/ou Pinus cembra (27 sites)
  • 9430 – Forêts montagnardes et subalpines à Pinus uncinata (*si sur substrat gypseux ou calcaire)* (63 sites)

95 – Forêts de conifères méditerranéennes montagnardes :    

  • 9530 – Pinèdes (sub-)méditerranéennes de pins noirs endémiques* (17 sites)    
  • 9540 – Pinèdes méditerranéennes de pins mésogéens endémiques (41 sites)    
  • 9560 – Forêts endémiques à Juniperus spp.* (14 sites)
  • 9580 – Bois méditerranéens à Taxus baccata* (16 sites)
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